1,8 millions de fidèles
Un mystère pas si mystérieux puisqu’il avoue lui-même se consacrer à son travail de 8h 30 à 21 heures. Et le résultat se voit à l’écran avec des séquences courtes et percutantes qui décryptent avec beaucoup d’humour et d’insolence les mondes des médias, du show-business et de la politique. Chaque jour l’émission est suivie régulièrement par plus de 1 800 000 fidèles, largement plus que Le grand journal qui le précède avec 1 200 000 téléspectateurs, les bons jours.
Gala écrit à propos de ce jeune animateur : « L'émission est à l'origine de très nombreux "buzz" sur la toile. Son succès est tel que Yann Barthès et son équipe restreinte (quatorze personnes) doivent à plusieurs reprises en modifier le format. Cette réussite doit beaucoup au concept même de l'émission – qui traque les tics, lapsus, redites et autres gaffes des hommes politiques –, qu'à la personnalité de l'animateur de 38 ans. La causticité des commentaires de ce métrosexuel, le mordant de ce gendre idéal – dont la vie privée est classée top secret – crée un décalage télégénique. »
Gala écrit à propos de ce jeune animateur : « L'émission est à l'origine de très nombreux "buzz" sur la toile. Son succès est tel que Yann Barthès et son équipe restreinte (quatorze personnes) doivent à plusieurs reprises en modifier le format. Cette réussite doit beaucoup au concept même de l'émission – qui traque les tics, lapsus, redites et autres gaffes des hommes politiques –, qu'à la personnalité de l'animateur de 38 ans. La causticité des commentaires de ce métrosexuel, le mordant de ce gendre idéal – dont la vie privée est classée top secret – crée un décalage télégénique. »
Un journalisme de qualité
Si la discrétion reste sa ligne de conduite il ne s’en confie pas moins aux médias surtout lorsqu’il peut y parler de son travail. En 2013 il déclarait à Paris Match « Si nos téléspectateurs apprennent au moins une chose pendant l’émission, c’est que nous faisons un travail d’information, se justifie-t-il. Le petit journal est un mélange de sketchs et de sujets sérieux. Le public sait faire la différence. La meilleure audience des derniers mois, c’est un sujet de vingt minutes sur la crise en Grèce. Ça n’était pas drôle. Sur cette émission, je défie quiconque de nous dire que nous ne sommes pas journalistes. » Un journalisme de qualité qu’il a encore récemment démontré en envoyant ses reporters sur le front Ukrainien.
Humour, impertinence, mais aussi rigueur journalistique sont les clés du succès de Yann Barthès et du Petit journal qui nous fait aimer l’actualité.
Humour, impertinence, mais aussi rigueur journalistique sont les clés du succès de Yann Barthès et du Petit journal qui nous fait aimer l’actualité.