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Rien de grave mais un échec pour Franky Zapata. L’inventeur de la Flyboard a échoué à traverser la Manche debout sur sa planche volante qui s’est notamment faite remarquer au dernier défilé du 14 juillet. « Flyman, l'homme-volant, a plaidé coupable, assumant « à 100 % » sa faute au moment fatidique du ravitaillement en kérosène, à mi-parcours, unique cause de l'échec de cette tentative de traversée inédite de la Manche, 110 ans après celle de Louis Blériot , la première de l'histoire de l'aviation » raconte Le Parisien – Aujourd’hui en France .
« Tout avait pourtant parfaitement commencé. Quelques minutes après le décollage, vers 8h30, l'homme-volant filait à quelque 160 km/h au-dessus des flots, « comme dans un rêve et sans aucune difficulté ». Les choses se corsent au kilomètre 20 de la traversée, au moment où le pilote doit se poser sur un bateau afin de pouvoir changer le réservoir d'essence qu'il porte en sac à dos » appuie le quotidien. L’incident n’a finalement que des conséquences matérielles sur l’appareil. Zapata a ainsi assuré qu’il voulait recommencer l’opération dans les prochains jours. Se comparant aux aviateurs qui ont vu dans le survol de La Manche une étape et un exploit symboliques, l’inventeur oublie cependant que par principe le survol d’une zone est un exploit lorsqu’il se fait sans escale. C’est pourtant le ravitaillement qui ici est un problème. « Le ravitaillement est clairement le point bloquant de cette traversée(…) Il nous faudra une bonne journée pour reconstruire le Flyboard, dont l'électronique est à refaire et les moteurs complètement foutus, puis deux ou trois jours pour remettre sur pied une organisation. Mon objectif, c'est de retenter l'aventure de la même manière dans les jours qui viennent, la semaine prochaine si tout va bien» a déclaré le Marseillais cité par Le Parisien.
« Tout avait pourtant parfaitement commencé. Quelques minutes après le décollage, vers 8h30, l'homme-volant filait à quelque 160 km/h au-dessus des flots, « comme dans un rêve et sans aucune difficulté ». Les choses se corsent au kilomètre 20 de la traversée, au moment où le pilote doit se poser sur un bateau afin de pouvoir changer le réservoir d'essence qu'il porte en sac à dos » appuie le quotidien. L’incident n’a finalement que des conséquences matérielles sur l’appareil. Zapata a ainsi assuré qu’il voulait recommencer l’opération dans les prochains jours. Se comparant aux aviateurs qui ont vu dans le survol de La Manche une étape et un exploit symboliques, l’inventeur oublie cependant que par principe le survol d’une zone est un exploit lorsqu’il se fait sans escale. C’est pourtant le ravitaillement qui ici est un problème. « Le ravitaillement est clairement le point bloquant de cette traversée(…) Il nous faudra une bonne journée pour reconstruire le Flyboard, dont l'électronique est à refaire et les moteurs complètement foutus, puis deux ou trois jours pour remettre sur pied une organisation. Mon objectif, c'est de retenter l'aventure de la même manière dans les jours qui viennent, la semaine prochaine si tout va bien» a déclaré le Marseillais cité par Le Parisien.