ILD
En 2016 aussi la prime de Noel pour les personnes les plus pauvres va être versée. C’est Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales qui vient de l’annoncer dans les colonnes du journal Ouest France. Cette prime qui a été instaurée en 1998 sous le gouvernement de Lionel Jospin concerne les bénéficiaires du RSA ou de l’allocation de solidarité spécifique. Sans qu’ils aient besoin de se manifester, les personnes concernées devraient recevoir cette prime entre cette semaine et la semaine prochaine.
Ouest France rappelle que le montant dépend de la composition du foyer et du nombre de personnes à charge. Ainsi une personne seule touchera 152 euros, un couple avec deux enfants 320 euros, avec quatre enfants 457 euros puis un supplément de 60,98 euros par personne à charge supplémentaire. Un fonctionnement détaillé sans donner de précision sur un éventuel montant maximal pour des familles exceptionnellement nombreuses.
Ouest France rappelle que le montant dépend de la composition du foyer et du nombre de personnes à charge. Ainsi une personne seule touchera 152 euros, un couple avec deux enfants 320 euros, avec quatre enfants 457 euros puis un supplément de 60,98 euros par personne à charge supplémentaire. Un fonctionnement détaillé sans donner de précision sur un éventuel montant maximal pour des familles exceptionnellement nombreuses.
Une mesure à 500 millions d’euros
La ministre explique que cette année plus de personnes sont concernées pour un total de 2 ?5 millions de bénéficiaires et un coût total de 500 millions d’euros. Si la mesure coute chère, le gouvernement la justifie par une fragilisation des plus pauvres et, outre l’aspect solidaire, l’utilité de soutenir la consommation en cette période de fêtes de fin d’année.
Dans les colonnes du quotidien régional, la ministre a voulu démontrer que « le gouvernement poursuit son engagement en faveur des plus modestes, après la revalorisation de 2 % du RSA en septembre, l’extension de la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C) et de l’aide à la complémentaire santé (ACS). Sans oublier la création de la prime d’activité, qui bénéficie aujourd’hui à plus de 2,3 millions de foyers, dont 500 000 jeunes ».
Dans les colonnes du quotidien régional, la ministre a voulu démontrer que « le gouvernement poursuit son engagement en faveur des plus modestes, après la revalorisation de 2 % du RSA en septembre, l’extension de la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C) et de l’aide à la complémentaire santé (ACS). Sans oublier la création de la prime d’activité, qui bénéficie aujourd’hui à plus de 2,3 millions de foyers, dont 500 000 jeunes ».