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Nouvel espoir pour une paix durable en Colombie. « Le gouvernement colombien et la principale faction de la dissidence des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC), qui s’étaient engagés à reprendre des pourparlers de paix, entameront des négociations officielles le 8 octobre, ont annoncé, mardi 19 septembre, les deux parties. Un cessez-le-feu prendra effet le même jour. « Il a été convenu de mettre en place la table de dialogue de paix le 8 octobre à Tibu » (Nord-Est), près de la frontière avec le Venezuela, énonce une déclaration conjointe entre les émissaires du président colombien, Gustavo Petro, et ceux d’« Ivan Mordisco », chef de l’état-major central des FARC (EMC). L’EMC est composé de rebelles ayant refusé de signer l’accord de paix historique de 2016 entre le gouvernement et la guérilla marxiste », rapporte Le Monde.
Un cessez-le-feu unilatéral temporaire de dix mois a été concédé pour laisser place aux discussions. « Les délégués des deux camps étaient réunis mardi dans les montagnes du département du Cauca, dans le sud-ouest du pays, en présence de représentants de la communauté internationale (ONU, Union européenne, Organisation des Etats américains, représentants du gouvernement vénézuélien et de trois pays européens), a constaté un photographe de l’Agence France-Presse. Leur conférence de presse commune s’est déroulée au milieu de plantations de coca. Le Cauca est l’une des régions du pays les plus perturbées par la violence. Tous les participants, dont le principal négociateur de l’EMC, connu sous le nom de commandant Andrey Avendaño, et le haut-commissaire pour la paix du gouvernement, Danilo Rueda, étaient en civils et vêtus de blanc », lit-on plus loin.
Avec 3 500 hommes dans les rangs des forces dissidentes, ces derniers éléments rebelles sont impliqués dans des trafics de drogue ou d’exploitation minière, rendant la frontière entre le caractère politique ou celui crapuleux difficile à dessiner.
Un cessez-le-feu unilatéral temporaire de dix mois a été concédé pour laisser place aux discussions. « Les délégués des deux camps étaient réunis mardi dans les montagnes du département du Cauca, dans le sud-ouest du pays, en présence de représentants de la communauté internationale (ONU, Union européenne, Organisation des Etats américains, représentants du gouvernement vénézuélien et de trois pays européens), a constaté un photographe de l’Agence France-Presse. Leur conférence de presse commune s’est déroulée au milieu de plantations de coca. Le Cauca est l’une des régions du pays les plus perturbées par la violence. Tous les participants, dont le principal négociateur de l’EMC, connu sous le nom de commandant Andrey Avendaño, et le haut-commissaire pour la paix du gouvernement, Danilo Rueda, étaient en civils et vêtus de blanc », lit-on plus loin.
Avec 3 500 hommes dans les rangs des forces dissidentes, ces derniers éléments rebelles sont impliqués dans des trafics de drogue ou d’exploitation minière, rendant la frontière entre le caractère politique ou celui crapuleux difficile à dessiner.