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Pour une fois que c’est dans ce sens on peut d’abord commencer par en sourire. Alors qu’inexorablement les talents français prenaient le chemin de l’étranger et notamment de l’Espagne, l’été 2017 a connu un épisode marquant. C’est une des plus grandes stars de la Ligue espagnole qui a été débauché par un Français. Ceci étant dit, s’il y en a un qui n’a pas du tout envie sourire c’est Javier Tabas, le président de la Liga. « En effet, le truculent dirigeant de la ligue de football espagnol ne cesse d’attaquer le PSG. En cause ? Le supposé non-respect du club de la capitale française de rentrer dans les clous du fair-play financier érigé par l’Union européenne des associations de football (UEFA) il y a quelques années et censé réguler l’économie du football » rapporte le site Foot Mercato .
« Nous avons étudié les comptes du PSG et de Manchester City de ces cinq dernières saisons, avec toutes les données : les droits télé nationaux et internationaux, ceux des Coupes d’Europe, la billetterie, les revenus dans les stades. On a conclu que leurs revenus commerciaux étaient impossibles puisqu’ils dépassent ceux de marques aussi connues que Manchester United ou le Real Madrid. En fait, ces revenus sont artificiels. Pour un type de contrat comme celui du PSG avec QTA (200 M€ annuels, ramenés à 100 M€ par l’UEFA), c’est deux ou trois fois plus que ce qui se fait pour les très grands clubs européens », a dit Tabas, cité par L’Equipe
Outre ces sorties, le patron de la plus prestigieuse ligue espagnole semble être très sérieux dans sa volonté de faire payer le PSG pour le coup de force Neymar. Il a déjà prévenu que si les instances du football ne punissaient pas le club parisien, il irait plus loin en saisissant tribunaux et instances européennes.
« Nous avons étudié les comptes du PSG et de Manchester City de ces cinq dernières saisons, avec toutes les données : les droits télé nationaux et internationaux, ceux des Coupes d’Europe, la billetterie, les revenus dans les stades. On a conclu que leurs revenus commerciaux étaient impossibles puisqu’ils dépassent ceux de marques aussi connues que Manchester United ou le Real Madrid. En fait, ces revenus sont artificiels. Pour un type de contrat comme celui du PSG avec QTA (200 M€ annuels, ramenés à 100 M€ par l’UEFA), c’est deux ou trois fois plus que ce qui se fait pour les très grands clubs européens », a dit Tabas, cité par L’Equipe
Outre ces sorties, le patron de la plus prestigieuse ligue espagnole semble être très sérieux dans sa volonté de faire payer le PSG pour le coup de force Neymar. Il a déjà prévenu que si les instances du football ne punissaient pas le club parisien, il irait plus loin en saisissant tribunaux et instances européennes.