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Ce n’est pas au programme mais c’est peut-être pour ça que c’est un rêve. L’astronaute Thomas Pesquet qui était une des personnalités vedettes lors de son passage au Salon du Bourget a confié qu’il aimerait bien aller sur la Lune. « La station spatiale internationale, c’est déjà un peu un autre monde mais cela reste proche. La Lune, c’est complètement dingue, il n’y a pas de vie, c’est complètement différent » a-t-il déclaré lors d’une rencontre avec la presse organisée par l’Agence spatiale européenne (ESA). « Les Etats-Unis affichent l’ambition d’envoyer à nouveau des Américains – dont une femme pour la première fois – sur la Lune dès 2024 et envisagent pour ce faire de monter une mini-station spatiale autour de notre satellite naturel. Dans un deuxième temps, à partir de 2028, les Américains prévoient une installation "durable". Pour cela la station autour de la Lune sera appelée à grandir et à s’ouvrir à des partenaires internationaux, comme c’est le cas pour la Station spatiale internationale (ISS) actuelle » explique Sud-Ouest.
Pour l’heure il n’est donc pas du tout prévu qu’un astronaute de l’ESA se rende sur la Lune. Pour ce qui est de Thomas Pesquet, qui a déjà passé six mois dans la station spatiale internationale, un prochain voyage est prévu pour 2020/2021. « "Le programme scientifique reste à définir", a souligné Thomas Pesquet. Le décollage pourrait se faire sur une fusée américaine depuis Cap Canaveral en Floride, alors que pour son premier vol, Thomas Pesquet était copilote de la fusée russe Soyouz. "Nous sommes dans une phase de transition", Soyouz étant ces dernières années le seul moyen d’accès à l’ISS, a-t-il souligné » continue le quotidien régional. Des aventures qui seront certainement une fois de plus très suivie. La stratégie de l’ESA d’incarner ses expéditions par les récits ludiques et accessibles de Pesquet continue à convaincre.
Pour l’heure il n’est donc pas du tout prévu qu’un astronaute de l’ESA se rende sur la Lune. Pour ce qui est de Thomas Pesquet, qui a déjà passé six mois dans la station spatiale internationale, un prochain voyage est prévu pour 2020/2021. « "Le programme scientifique reste à définir", a souligné Thomas Pesquet. Le décollage pourrait se faire sur une fusée américaine depuis Cap Canaveral en Floride, alors que pour son premier vol, Thomas Pesquet était copilote de la fusée russe Soyouz. "Nous sommes dans une phase de transition", Soyouz étant ces dernières années le seul moyen d’accès à l’ISS, a-t-il souligné » continue le quotidien régional. Des aventures qui seront certainement une fois de plus très suivie. La stratégie de l’ESA d’incarner ses expéditions par les récits ludiques et accessibles de Pesquet continue à convaincre.