Creative Commons - Pixabay
Pas de difficultés d’approvisionnement derrière l’allongement du délai entre les deux doses du vaccin. C’est ce qu’affirme le ministère de la Santé dans ses explications sur le dispositif vaccinal prévu contre la variole du singe : « Dans le cadre de la stratégie de vaccination préventive (…) et afin de garantir au plus grand nombre de personnes à risque l’accès à la vaccination », le ministère a déclaré avoir « recommandé aux sites de vaccination, conformément à [l’avis de la HAS [Haute Autorité de santé] du 7 juillet]urlblank:https://www.has-sante.fr/jcms/p_3351443/fr/monkeypox-une-vaccination-preventive-proposee-aux-personnes-les-plus-a-risque-d-exposition , d’allonger l’espacement entre la première et la deuxième dose pour les personnes non immunodéprimées », rapporte Le Monde .
Le quotidien rappelle que dans un premier temps, il y a un mois, les autorités sanitaires avaient annoncé que les deux doses seraient administrées dans un délai de 28 jours, tout en expliquant que le délai pourrait être allongé si des tensions d’approvisionnement étaient rapportées. «A la question de savoir si l’allongement du délai était lié à une telle tension, le ministère a cependant réaffirmé jeudi qu’« il n’y a aucune tension d’approvisionnement en vaccins ». Deux doses de vaccin sont préconisées pour la plupart des personnes prioritairement éligibles, essentiellement des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, les personnes transgenres aux partenaires sexuels multiples, les travailleuses et travailleurs du sexe et les professionnels des lieux de consommation sexuelle », lit-on plus loin.
Le ministère de la Santé estime que 250 000 personnes font partie de la population cible. « Jusqu’à présent, quelque 18 500 personnes ont reçu une première dose de vaccin. Selon un décompte arrêté mardi 2 août par les autorités sanitaires, 2 239 cas ont été confirmés en France. Contrairement à d’autres pays comme l’Espagne, la France n’a pour le moment aucune mort à signaler » ajoute l’article du « Monde ».
Le quotidien rappelle que dans un premier temps, il y a un mois, les autorités sanitaires avaient annoncé que les deux doses seraient administrées dans un délai de 28 jours, tout en expliquant que le délai pourrait être allongé si des tensions d’approvisionnement étaient rapportées. «A la question de savoir si l’allongement du délai était lié à une telle tension, le ministère a cependant réaffirmé jeudi qu’« il n’y a aucune tension d’approvisionnement en vaccins ». Deux doses de vaccin sont préconisées pour la plupart des personnes prioritairement éligibles, essentiellement des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, les personnes transgenres aux partenaires sexuels multiples, les travailleuses et travailleurs du sexe et les professionnels des lieux de consommation sexuelle », lit-on plus loin.
Le ministère de la Santé estime que 250 000 personnes font partie de la population cible. « Jusqu’à présent, quelque 18 500 personnes ont reçu une première dose de vaccin. Selon un décompte arrêté mardi 2 août par les autorités sanitaires, 2 239 cas ont été confirmés en France. Contrairement à d’autres pays comme l’Espagne, la France n’a pour le moment aucune mort à signaler » ajoute l’article du « Monde ».