Toujours plus rapide. Alors que Orange avait annoncé fièrement avoir atteint le débit de 10Gb/s, Bouygues Telecom n’a pas laissé son concurrent jubiler bien longtemps. Ce dernier vient en effet d’annoncer avoir passé la barre des 25 Gb/s en laboratoire. « L'expérimentation "a été effectuée à l’aide d’une station radio Ericsson équipée d’antennes 5G actives sur laquelle étaient simultanément connectés deux terminaux mobiles prototypes. Les équipes de Bouygues Telecom et d’Ericsson sont parvenues à réaliser des transferts de données simultanément vers deux terminaux, pour atteindre un débit agrégé de 25,2 Gbps sur l’antenne 5G avec une latence de l’ordre de 3 millisecondes. En parallèle, deux vidéos 4K étaient diffusées vers les terminaux", explique l'opérateur » selon les informations du site Zdnet.fr.
Des chiffres qui font tourner la tête et qui démontre l’envie des opérateurs d’arriver en premier à proposer la 5 G même si la commercialisation n’est vraiment pas à l’ordre du jour. « Rappelons que la 5G se caractérise évidemment par des débits encore plus élevés supérieurs à 10 gigabit par seconde mais surtout par plus de capacités et une latence très basse, ce qui constitue un atout majeur pour les millions d'objets connectés qui déploient actuellement. La 5G a donc bien vocation à épauler l'essor de l'Internet des objets » précise l’article qui explique par ailleurs que la commercialisation n’est pas envisagée avant 2020.
Pour autant les observateurs estiment que cette technologie ne va pas permettre un renouveau du secteur des télécoms comme ce fut le cas pour la 3G ou même la 4G. « Oui, ça va créer de l'activité mais ce ne sera pas au même niveau que pour la 3G et la 4G. Car les déploiements seront très différents, et je pense que certains pays en développement n'en verront même pas la couleur. Ca ne sera pas une activité aussi porteuse mais encore une fois, il est indispensable pour ces acteurs de se positionner dès aujourd'hui et de montrer qu'ils sont prêts » analysait dans les colonnes de Zdnet.fr, Sylvain Fabre, spécialiste au sein de Gartner.
Lire ici en intégralité l’article sur le site Zdnet.fr
Des chiffres qui font tourner la tête et qui démontre l’envie des opérateurs d’arriver en premier à proposer la 5 G même si la commercialisation n’est vraiment pas à l’ordre du jour. « Rappelons que la 5G se caractérise évidemment par des débits encore plus élevés supérieurs à 10 gigabit par seconde mais surtout par plus de capacités et une latence très basse, ce qui constitue un atout majeur pour les millions d'objets connectés qui déploient actuellement. La 5G a donc bien vocation à épauler l'essor de l'Internet des objets » précise l’article qui explique par ailleurs que la commercialisation n’est pas envisagée avant 2020.
Pour autant les observateurs estiment que cette technologie ne va pas permettre un renouveau du secteur des télécoms comme ce fut le cas pour la 3G ou même la 4G. « Oui, ça va créer de l'activité mais ce ne sera pas au même niveau que pour la 3G et la 4G. Car les déploiements seront très différents, et je pense que certains pays en développement n'en verront même pas la couleur. Ca ne sera pas une activité aussi porteuse mais encore une fois, il est indispensable pour ces acteurs de se positionner dès aujourd'hui et de montrer qu'ils sont prêts » analysait dans les colonnes de Zdnet.fr, Sylvain Fabre, spécialiste au sein de Gartner.
Lire ici en intégralité l’article sur le site Zdnet.fr