L’exposition À l’aube du japonisme réunit des objets – souvent inédits – conservés en France, qui illustrent la connaissance que les Japonais avaient des Français : des médaillons en laque noir et or d’après des gravures transmises par les Hollandais, mais aussi des peintures de Hokusai offertes à la Bibliothèque nationale de France par le fils du capitaine du comptoir de Deshima, qui montrent la familiarité de Hokusai avec la perspective occidentale.
Des objets japonais, laques, céramiques, modèles de maisons, qui étaient en vente à Paris dès 1840, seront également présentés, de même que des pièces japonaises collectées par les membres de la mission française lors de la signature du traité de 1844 avec la Chine, et qu’une remarquable vue de Deshima, en laque et nacre.
La collection du baron de Chassiron, membre de l’ambassade française au Japon de 1858, les photographies faites à Paris des membres des ambassades japonaises de 1862 et 1864, des porcelaines, des albums d’estampes, des livres illustrés présentés à l’Exposition universelle de 1867 montreront comment, en peu d’années, s’installe un réel engouement pour l’art japonais qui prend bientôt le nom de japonisme.
Des objets japonais, laques, céramiques, modèles de maisons, qui étaient en vente à Paris dès 1840, seront également présentés, de même que des pièces japonaises collectées par les membres de la mission française lors de la signature du traité de 1844 avec la Chine, et qu’une remarquable vue de Deshima, en laque et nacre.
La collection du baron de Chassiron, membre de l’ambassade française au Japon de 1858, les photographies faites à Paris des membres des ambassades japonaises de 1862 et 1864, des porcelaines, des albums d’estampes, des livres illustrés présentés à l’Exposition universelle de 1867 montreront comment, en peu d’années, s’installe un réel engouement pour l’art japonais qui prend bientôt le nom de japonisme.