Airbnb : des pertes mais un nombre de réservations record
Pixabay/qimono
Lors de la publication de ses résultats pour les trois premiers mois de l’année, Airbnb affiche une nouvelle fois une perte nette. Elle s’établit à 19 millions de dollars, mais est près de 60 fois inférieure à celle des trois premiers mois de 2021 lorsqu’elle était de 1,2 milliard. Airbnb, comme l’ensemble du secteur du tourisme, a en effet vu son chiffre d’affaires s’effondrer avec la crise de la Covid-19 et les restrictions qui ont été prises sur l’ensemble de la planète.
Mais les vacanciers sont de retour : avec plus de 100 millions de réservations enregistrées au premier trimestre 2022, Airbnb signe un record. Et le chiffre d’affaires grimpe en conséquence : 1,5 milliard de dollars sur la période, en hausse de 70% sur un an. Il dépasse les attentes et affiche même une croissance de 80% par rapport à 2019.
Mais les vacanciers sont de retour : avec plus de 100 millions de réservations enregistrées au premier trimestre 2022, Airbnb signe un record. Et le chiffre d’affaires grimpe en conséquence : 1,5 milliard de dollars sur la période, en hausse de 70% sur un an. Il dépasse les attentes et affiche même une croissance de 80% par rapport à 2019.
Des nuitées de plus en plus chères
Les autres données dévoilées par Airbnb sont tout autant positives, à commencer par l’augmentation importante du prix des nuitées. En moyenne, elles coûtent 168 dollars, soit 37% de plus qu’au premier trimestre 2019. Et comme Airbnb se rémunère avec une commission sur les sommes payées sur sa plateforme, une telle augmentation ne peut être autre chose qu’une bonne nouvelle.
Cette hausse, l’entreprise l’attribue à une augmentation du nombre de logements entiers et, surtout, de maisons mis en location en Amérique du Nord essentiellement. Le groupe profite de la tendance du flexi-travail qui permet à certains salariés de travailler à distance, et donc de partir sans devoir prendre de congés.
Cette hausse, l’entreprise l’attribue à une augmentation du nombre de logements entiers et, surtout, de maisons mis en location en Amérique du Nord essentiellement. Le groupe profite de la tendance du flexi-travail qui permet à certains salariés de travailler à distance, et donc de partir sans devoir prendre de congés.