S’il y a bien un domaine que Twitter doit soigner, c’est la publicité. Mais quand Jack Dorsey, patron de Twitter, commente les résultats du dernier trimestre, c’est dans ce domaine -là justement qu’il reconnait que bugs et erreurs ont plombé le tableau. De quoi accentuer encore la baisse du cour en bourse qui avait suivi la publication des résultats. Avec une chute vertigineuse de vingt points, Twitter a clairement envoyé de mauvais signaux aux investisseurs.
« L’entreprise y fait part d’un bénéfice trimestriel de 36,52 millions de dollars, une somme bien moindre que les 789,2 millions de dollars enregistrés à la même période en 2018. Le chiffre d’affaires de Twitter s’est lui établi à 823,7 millions de dollars, une somme inférieure aux 874 millions attendus en moyenne dans les prévisions d’analystes » rapporte Le Monde. Mais surtout, ce qui ne fait vraiment pas sérieux, c’est que l’entreprise ne peut s’en prendre qu’à elle-même pour ces résultats décevants.
Car ce sont les bugs et erreurs techniques qui sont principalement à l’origine de la situation. Le fait le plus marquant étant l’utilisation de données personnelles à des fins publicitaires… « Ces « ratés » dans les outils publicitaires se sont principalement concentrés en dehors des Etats-Unis, où la croissance du chiffre d’affaires dans la publicité a augmenté de seulement 5 % contre une hausse de 11 % sur le territoire américain, révèlent les derniers résultats trimestriels de Twitter. En tout, les recettes publicitaires, source indispensable de revenus pour Twitter (et la plupart des réseaux sociaux, Facebook en tête), se sont établies à 702 millions de dollars au troisième trimestre : une hausse de 52 millions de dollars par rapport à la même période l’an dernier, mais entachée par les révélations de ces « bugs » » poursuit Le Monde.
Twitter est dans une posture délicate. Sans être jamais parvenu à devenir un monstre du web à l’image de Facebook, le réseau social sent qu’il est dépassé par les réseaux sociaux très sollicités par les adolescents. Toujours très utilisé par les personnalités publiques ou les personnes politisées, le grand public fait encore largement défaut.
« L’entreprise y fait part d’un bénéfice trimestriel de 36,52 millions de dollars, une somme bien moindre que les 789,2 millions de dollars enregistrés à la même période en 2018. Le chiffre d’affaires de Twitter s’est lui établi à 823,7 millions de dollars, une somme inférieure aux 874 millions attendus en moyenne dans les prévisions d’analystes » rapporte Le Monde. Mais surtout, ce qui ne fait vraiment pas sérieux, c’est que l’entreprise ne peut s’en prendre qu’à elle-même pour ces résultats décevants.
Car ce sont les bugs et erreurs techniques qui sont principalement à l’origine de la situation. Le fait le plus marquant étant l’utilisation de données personnelles à des fins publicitaires… « Ces « ratés » dans les outils publicitaires se sont principalement concentrés en dehors des Etats-Unis, où la croissance du chiffre d’affaires dans la publicité a augmenté de seulement 5 % contre une hausse de 11 % sur le territoire américain, révèlent les derniers résultats trimestriels de Twitter. En tout, les recettes publicitaires, source indispensable de revenus pour Twitter (et la plupart des réseaux sociaux, Facebook en tête), se sont établies à 702 millions de dollars au troisième trimestre : une hausse de 52 millions de dollars par rapport à la même période l’an dernier, mais entachée par les révélations de ces « bugs » » poursuit Le Monde.
Twitter est dans une posture délicate. Sans être jamais parvenu à devenir un monstre du web à l’image de Facebook, le réseau social sent qu’il est dépassé par les réseaux sociaux très sollicités par les adolescents. Toujours très utilisé par les personnalités publiques ou les personnes politisées, le grand public fait encore largement défaut.