.De retour des Jeux Olympiques de Rio, Teddy Riner, sacré double champion olympique, raconte l'aventure dans un article du magazine GQ. Il commente : « C’était chaud. Les premiers jours on serrait les dents. Le compteur de médailles peinait à se débloquer, la pression augmentait. »
L’article précise que « dans la catégorie reine de l’art martial nippon, les plus de 100 kg, le Guadeloupéen a terrassé ses adversaires. »
L’article précise que « dans la catégorie reine de l’art martial nippon, les plus de 100 kg, le Guadeloupéen a terrassé ses adversaires. »
Un niveau très élevé
Il ajoute : « Le grand public ne l’a probablement pas remarqué mais le niveau était très élevé cette année. Certains athlètes ont refusé le combat mais je m’y attendais. L’épaule a tenu (fragilisée par l'entrainement), il y avait beaucoup d’intensité dans les randoris, c’était génial. Après, oui il faut être un peu barré pour faire ce qu’on fait, sérieux. Il faut vouloir se battre en permanence et ne pas avoir peur de la douleur. J’en suis un bon exemple. Au début, personne n’aurait misé sur moi. Mais avec le boulot, j’ai prouvé que si on veut quelque chose, on peut tout gagne. »
En outre, Teddy Riner a joué son rôle de porte-drapeau avec grande fierté : « J’ai adoré. Jusqu’à ma médaille, il y avait une petite pression supplémentaire. Il fallait briser la malédiction du porte-drapeau tricolore qui ne gagnait pas de médaille (Jackson Richardson en 2004 au Handball. Tony Estanguet en 2008 en canoë monoplace. Laura Flessel à l’épée en 2012). Et en plus de l’honneur que ça représentait pour moi, il y avait un profond respect entre les athlètes. On se soutenait les uns les autres et ça compte beaucoup. »
Lire l’intégralité de l’article de GQ ici.
En outre, Teddy Riner a joué son rôle de porte-drapeau avec grande fierté : « J’ai adoré. Jusqu’à ma médaille, il y avait une petite pression supplémentaire. Il fallait briser la malédiction du porte-drapeau tricolore qui ne gagnait pas de médaille (Jackson Richardson en 2004 au Handball. Tony Estanguet en 2008 en canoë monoplace. Laura Flessel à l’épée en 2012). Et en plus de l’honneur que ça représentait pour moi, il y avait un profond respect entre les athlètes. On se soutenait les uns les autres et ça compte beaucoup. »
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