Julian Assange, ennemi public numéro un aux Etats-Unis, est jugé en Grande-Bretagne. L’homme par qui le monde en a appris beaucoup sur les fonctionnement des grandes oreilles et de la diplomatie américaines fait face à la justice. Malgré le retentissement international de ses révélations, Assange n’a réuni qu’une poignée de soutiens à la sortie de son jugement.
« Il a levé le poing en arrivant dans la camionnette de la police qui l’avait extrait de la prison de haute sécurité de Belmarsh, à l’est de Londres. Comme une signature, il a encore levé le poing avant de quitter la salle du tribunal de Southwark et de retourner en cellule. Ses soutiens, une petite trentaine de personnes, se sont alors mis à hurler « shame on you » («Honte à vous») à la juge. Julian Assange, 47 ans, a été condamné mercredi à cinquante semaines de détention pour avoir rompu les conditions de sa libération conditionnelle le 19 juin 2012 en se réfugiant à l’ambassade londonienne d’Equateur. Il y a passé les presque sept années suivantes, jusqu’à son arrestation le 11 avril par la police britannique » nous raconte Libération .
Désormais, le volet judiciaire le plus important doit s’ouvrir avec comme enjeu l’extradition de l’activiste. Ce jeudi 2 mai, pour la première fois, la demande d’extradition déposée par les Etats-Unis va être examinée par la justice britannique. Il y assistera donc depuis la prison par transmission vidéo. « En plus de la procédure d’extradition engagée par les Etats-Unis, il n’est pas exclu non plus que la Suède décide de rouvrir la procédure à son encontre. Julian Assange avait été accusé de viol et d’agression sexuelle dans ce pays et s’était d’abord réfugié au Royaume-Uni puis à l’ambassade d’Equateur pour éviter toute extradition vers Stockholm » conclu Libé.
« Il a levé le poing en arrivant dans la camionnette de la police qui l’avait extrait de la prison de haute sécurité de Belmarsh, à l’est de Londres. Comme une signature, il a encore levé le poing avant de quitter la salle du tribunal de Southwark et de retourner en cellule. Ses soutiens, une petite trentaine de personnes, se sont alors mis à hurler « shame on you » («Honte à vous») à la juge. Julian Assange, 47 ans, a été condamné mercredi à cinquante semaines de détention pour avoir rompu les conditions de sa libération conditionnelle le 19 juin 2012 en se réfugiant à l’ambassade londonienne d’Equateur. Il y a passé les presque sept années suivantes, jusqu’à son arrestation le 11 avril par la police britannique » nous raconte Libération .
Désormais, le volet judiciaire le plus important doit s’ouvrir avec comme enjeu l’extradition de l’activiste. Ce jeudi 2 mai, pour la première fois, la demande d’extradition déposée par les Etats-Unis va être examinée par la justice britannique. Il y assistera donc depuis la prison par transmission vidéo. « En plus de la procédure d’extradition engagée par les Etats-Unis, il n’est pas exclu non plus que la Suède décide de rouvrir la procédure à son encontre. Julian Assange avait été accusé de viol et d’agression sexuelle dans ce pays et s’était d’abord réfugié au Royaume-Uni puis à l’ambassade d’Equateur pour éviter toute extradition vers Stockholm » conclu Libé.