Recul des ventes chez les constructeurs
Le marché de l’automobile français recule au mois de mai 2022 de 10%. La baisse de la vente de véhicules neufs touche la plupart des constructeurs automobiles. Ainsi, le leader du marché en France, Stellantis, malgré la première place de sa compacte 208 au classement des véhicules neufs les plus vendus, enregistre une baisse de 22,15% sur les cinq premiers mois de 2022. Le groupe Volkswagen a, sur la même période, enregistré une chute de 22,12% et le groupe Renault, une chute de 15,45%.
D’autres groupes de constructeurs automobiles enregistrent des baisses de vente de véhicules neufs en France. C’est le cas de Mercedes, BMW, Ford, Toyota, ou encore de Tesla. En effet, le constructeur de voitures électriques a, entre avril 2021 et avril 2022, soit un an après, enregistré une chute de ses ventes de près de 92%. En revanche, Hyundai-Kia est le seul constructeur à ne pas subir de baisse, avec une hausse de 7,7% depuis le début de l’année 2022 et une hausse de 23% de ses ventes sur le mois de mai 2022.
D’autres groupes de constructeurs automobiles enregistrent des baisses de vente de véhicules neufs en France. C’est le cas de Mercedes, BMW, Ford, Toyota, ou encore de Tesla. En effet, le constructeur de voitures électriques a, entre avril 2021 et avril 2022, soit un an après, enregistré une chute de ses ventes de près de 92%. En revanche, Hyundai-Kia est le seul constructeur à ne pas subir de baisse, avec une hausse de 7,7% depuis le début de l’année 2022 et une hausse de 23% de ses ventes sur le mois de mai 2022.
Pénurie de semi-conducteurs
La première cause de cette chute des ventes de voitures neuves sur le marché automobile français est que la production mondiale de voitures subit un fort impact de la pénurie de semi-conducteurs. En effet, ces puces électroniques sont indispensables aux nouvelles technologies installées dans les voitures. Pour François Roudier, le porte-parole du Comité des constructeurs français d’automobiles, la « pénurie de semi-conducteurs » va continuer de « ralentir les livraisons », et par un effet domino, les ventes ne seront pas rattrapées. « On voit mal comment on pourrait reprendre les véhicules perdus au second semestre », indique-t-il.
Entre janvier et mai 2022, le marché français a reculé de 16,92%, avec 600.897 nouvelles immatriculations enregistrées. Avec 147.161 immatriculations enregistrées, la vente de véhicules utilitaires légers a, quant à elle, baissé de près de 25% sur la même période. Sur les plus de 600.000 nouvelles immatriculations au début de l’année 2022, 28,6% d’entre elles sont des véhicules à motorisation hybrides ou hybrides rechargeables et 11,9% de véhicules électriques.
Entre janvier et mai 2022, le marché français a reculé de 16,92%, avec 600.897 nouvelles immatriculations enregistrées. Avec 147.161 immatriculations enregistrées, la vente de véhicules utilitaires légers a, quant à elle, baissé de près de 25% sur la même période. Sur les plus de 600.000 nouvelles immatriculations au début de l’année 2022, 28,6% d’entre elles sont des véhicules à motorisation hybrides ou hybrides rechargeables et 11,9% de véhicules électriques.