Le dernier film Marvel des Avengers est un piqure de rappel. Les Etats-Unis restent une puissance culturelle largement dominante. Avec deux milliards de dollars de recettes en deux semaines d’exploitation, le film est en passe de battre tous les records. Alors que les observateurs n’ont de cesse de noter que la Chine remet en question la domination américaine, dans le domaine de la culture la question ne se pose pas. « Le public chinois ne s’y est pas trompé en plébiscitant le dernier film de super-héros de Marvel, Avengers : Endgame. Il a rapporté 580 millions de dollars en Chine, soit presque autant qu’aux Etats-Unis. Des millions de Chinois ont assisté aux exploits de Captain America, Iron Man et leurs amis, des héros pourtant très trumpiens qui tentent de sauver ce qui reste d’une planète dévastée par un méchant aux pouvoirs infinis » note Le Monde .
Alors même que la profondeur et la finesse de l’univers Marvel ne sont pas évidents, les Etats-Unis ont des centaines de longueurs d’avance dans l’économie du divertissement. En imposant des références mondiales, la situation n’est d’ailleurs pas prête de changer. « L’industrie américaine du cinéma confirme sa domination mondiale, plus encore que dans l’Internet, puisqu’elle a réussi à percer la muraille chinoise qui empêche encore les titans Google et Amazon de régner en maître sur la planète. Puissance d’une industrie, mais aussi d’une « superstar économie », qui diversifie l’offre à l’infini mais permet aux plus gros de rafler l’essentiel de la mise » analyse le quotidien français.
L’article note d’ailleurs que la domination est telle dans ce domaine que les acteurs américains se livrent une bataille planétaire pour les parts de marché. Disney, derrière les Avengers et Star Wars a des arguments, mais les seuls à presque lui tenir tête sont Amazon et Netflix. Le monde post américain n’est pas pour demain.
Alors même que la profondeur et la finesse de l’univers Marvel ne sont pas évidents, les Etats-Unis ont des centaines de longueurs d’avance dans l’économie du divertissement. En imposant des références mondiales, la situation n’est d’ailleurs pas prête de changer. « L’industrie américaine du cinéma confirme sa domination mondiale, plus encore que dans l’Internet, puisqu’elle a réussi à percer la muraille chinoise qui empêche encore les titans Google et Amazon de régner en maître sur la planète. Puissance d’une industrie, mais aussi d’une « superstar économie », qui diversifie l’offre à l’infini mais permet aux plus gros de rafler l’essentiel de la mise » analyse le quotidien français.
L’article note d’ailleurs que la domination est telle dans ce domaine que les acteurs américains se livrent une bataille planétaire pour les parts de marché. Disney, derrière les Avengers et Star Wars a des arguments, mais les seuls à presque lui tenir tête sont Amazon et Netflix. Le monde post américain n’est pas pour demain.