213 millions d’entrées au cinéma en 2019
Le chiffre avancé par le CNC pour l’année 2019 est éloquent : pas moins de 213,3 millions d’entrées dans les différents cinémas de l’Hexagone ont été vendues en 2019. Du jamais vu depuis… 1966 lorsque 234,2 millions d’entrées avaient été réalisées. Avec cette hausse de 6%, le cinéma en France signe donc une année record comme il n’en avait jamais connue depuis plus de 50 ans.
La nouvelle est d’autant meilleure que les concurrents aux salles obscures se multiplient : la vidéo à la demande, notamment, portée par Netflix, leader du secteur, se développe et les séries sont en plein âge d’or en termes de création et de budgets alloués à leur production. Mais peu importe : les Français aiment le cinéma dont les entrées restent depuis plus de 5 ans au-dessus des 200 millions par an, selon les données officielles.
La nouvelle est d’autant meilleure que les concurrents aux salles obscures se multiplient : la vidéo à la demande, notamment, portée par Netflix, leader du secteur, se développe et les séries sont en plein âge d’or en termes de création et de budgets alloués à leur production. Mais peu importe : les Français aiment le cinéma dont les entrées restent depuis plus de 5 ans au-dessus des 200 millions par an, selon les données officielles.
Disney et les films américains remportent le gros lot
Sans surprise, le grand gagnant de l’année cinématographique 2019 est Disney. Le géant a réalisé quatre des six meilleurs scores de l’année, avec notamment le remake du Roi Lion ou encore le dernier épisode de la saga Avengers. On notera également la très bonne performance du Joker, primé à Venise et issu, pour le coup, de l’univers Marvel.
Un seul film français sort du lot, atteignant tout de même la troisième meilleure place de l’année : Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon Dieu ? Insuffisant pour concurrencer la suprématie américaine sur le septième art : en France, désormais, les films venus de l’autre côté du Pacifique pèsent 55,2% du marché.
Un seul film français sort du lot, atteignant tout de même la troisième meilleure place de l’année : Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon Dieu ? Insuffisant pour concurrencer la suprématie américaine sur le septième art : en France, désormais, les films venus de l’autre côté du Pacifique pèsent 55,2% du marché.