Si les autorités sanitaires parviennent à éviter que de nouveaux cas se déclarent en Afrique et en Amérique du Sud, l’épidémie Coronavirus devrait ralentir. Les spécialistes estiment en effet que l’arrivée du Printemps va avoir un impact positif puisque le virus ne résiste pas bien à l’air libre. « Depuis le début du XXe siècle, l’humanité a été touchée par de grandes épidémies virales : la grippe espagnole en 1918-1920, la plus mortelle de l’histoire avec 50 millions de morts (1), ou la dernière, la grippe A (H1N1) qui fit 18 500 morts. S’y ajoutent le sida qui a fait, de 1981 à nos jours, 32 millions de morts, et le virus Ebola, qui, depuis 1976, a entraîné 11 300 morts. Enfin, le SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) a fait 774 morts en 2002-2003 et le MERS (syndrome respiratoire du Moyen-Orient) a tué 800 personnes, depuis 2012. Ces pathologies diffèrent ainsi par leur taux de mortalité et de contagiosité - la mortalité d’Ebola s’élève à environ 40 % pour une contagiosité moyenne » contextualise La Croix.
Le quotidien catholique publie un article complet sur le sujet. Un état des lieux loin de l’alarmisme ambiant. Concernant la recherche, l’article nous apprend ainsi que les instituts spécialisés du monde entier travaillent d’arrache-pied à l’élaboration d’un vaccin. Et le délai n’est pas si long à en croire les premières estimations. « Côté vaccin, la recherche et la mise au point devraient nécessiter de nombreux mois. En effet, après la construction du vaccin qui pourrait prendre entre deux et trois mois, viendront ensuite les essais précliniques chez l’animal (innocuité, tolérance, pouvoir immunogène) et les véritables essais cliniques chez l’homme (phases I, II et III). « Une démarche qui devrait durer au moins trois ans », selon Bruno Lina, virologiste de l’Inserm à Lyon. La durée peut cependant varier selon le type de vaccin. Ainsi, L’Institut Pasteur mise plutôt sur une durée de 20 mois » lit-on plus loin.
Pour ce qui est du traitement, des échantillons ont été prélevés sur les patients guéris du virus et des essais à grande échelles devaient être lancés dès ce mois de février.
Le quotidien catholique publie un article complet sur le sujet. Un état des lieux loin de l’alarmisme ambiant. Concernant la recherche, l’article nous apprend ainsi que les instituts spécialisés du monde entier travaillent d’arrache-pied à l’élaboration d’un vaccin. Et le délai n’est pas si long à en croire les premières estimations. « Côté vaccin, la recherche et la mise au point devraient nécessiter de nombreux mois. En effet, après la construction du vaccin qui pourrait prendre entre deux et trois mois, viendront ensuite les essais précliniques chez l’animal (innocuité, tolérance, pouvoir immunogène) et les véritables essais cliniques chez l’homme (phases I, II et III). « Une démarche qui devrait durer au moins trois ans », selon Bruno Lina, virologiste de l’Inserm à Lyon. La durée peut cependant varier selon le type de vaccin. Ainsi, L’Institut Pasteur mise plutôt sur une durée de 20 mois » lit-on plus loin.
Pour ce qui est du traitement, des échantillons ont été prélevés sur les patients guéris du virus et des essais à grande échelles devaient être lancés dès ce mois de février.