20 000. En Australie, c’est le nombre de collisions annuelles enregistrées par les compagnies d'assurances, entre marsupiaux et automobilistes. Sans compter, les 50 millions d’euros que ces dernières doivent verser à leurs assurés. C’est bien connu, en Australie, les kangourous représentent un vrai danger pour les conducteurs. Pour contrer cette nuisance, Volvo a mis au point un détecteur de kangourous qui pourrait être commercialisé sur le marché australien. Il est actuellement testé, vient d’annoncer la marque suédoise.
Le détecteur utilise des capteurs high-tech et une technologie innovante. Ces derniers repèrent la présence de kangourous au bord de la route et activent « en urgence le système de freinage pour éviter les chocs », explique Le Figaro. Parce qu’un kangourou, loin d'être anecdotique, c'est un mammifère pouvant atteindre 2 mètres de haut, peser 80 kilos et se déplacer à 60 kilomètres heure. Un obstacle aussi important qu'un cerf ou un cheval sauvage, mais encore plus bondissant...
Même s’il n’y a pas de kangourous dans le Nord de l'Europe, les Suédois et les ingénieurs de Volvo ont déjà planché sur une problématique similaire : « en Suède, nous avons fait des recherches sur des animaux plus gros et plus lents, comme les élans, les rennes et les vaches. » En revanche, dit-on chez Volvo, « les kangourous sont plus petits et leur comportement est plus imprévisible. » Gageons toutefois que la technologie innovante mise au point par Volvo, pourra réduire en Australie, le nombre de collisions entre marsupiaux et automobilistes.
Le détecteur utilise des capteurs high-tech et une technologie innovante. Ces derniers repèrent la présence de kangourous au bord de la route et activent « en urgence le système de freinage pour éviter les chocs », explique Le Figaro. Parce qu’un kangourou, loin d'être anecdotique, c'est un mammifère pouvant atteindre 2 mètres de haut, peser 80 kilos et se déplacer à 60 kilomètres heure. Un obstacle aussi important qu'un cerf ou un cheval sauvage, mais encore plus bondissant...
Même s’il n’y a pas de kangourous dans le Nord de l'Europe, les Suédois et les ingénieurs de Volvo ont déjà planché sur une problématique similaire : « en Suède, nous avons fait des recherches sur des animaux plus gros et plus lents, comme les élans, les rennes et les vaches. » En revanche, dit-on chez Volvo, « les kangourous sont plus petits et leur comportement est plus imprévisible. » Gageons toutefois que la technologie innovante mise au point par Volvo, pourra réduire en Australie, le nombre de collisions entre marsupiaux et automobilistes.