Politique
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C’est la fin d’une époque. Qu’elle est loin cette période où à chaque sortie d’un dessin animé Disney, les boutiques étaient envahies de jouets, peluches et produits dérivés. Disney est devenu beaucoup plus qu’un studio de production de dessins animés à succès ou de films tous publics. Les rachats massifs dans son secteur puis le lancement de super productions accompagnées de ses plateformes de VOD ont fait considérablement évoluer la donne et les magasins n’ont plus leur place dans la stratégie.
Par communiqué, le groupe annonce qu’une soixantaine de magasins au moins vont fermer aux Etats-Unis et au Canada. L’idée est de se focaliser sur les ventes en ligne. « Le numéro un mondial du divertissement a souligné dans un communiqué qu’il entend « réduire de manière significative ses points de vente physiques » pour développer le commerce électronique. « Le comportement des consommateurs s’est déplacé vers les achats sur Internet et, parallèlement, la pandémie a modifié ce que les consommateurs attendent d’un distributeur », déclare dans un communiqué Stephanie Young, responsable des produits de consommation, des jeux et de l’édition pour Disney », d’après des propos rapportés par Le Monde.
« Disney souhaite développer l’an prochain sa plate-forme de vente shopDisney ainsi que l’intégration de cette dernière avec les applis mobiles consacrées à ses parcs d’attraction et avec sa présence sur les réseaux sociaux. Ces modifications seront accompagnées par la création de nouveaux produits des différentes marques détenues par Disney (vêtements pour adulte, « streetwear », produits pour la maison et autres produits dérivés), ajoute le communiqué » poursuit le quotidien.
Rien n’est spécifié concernant les boutiques en Europe ou ailleurs dans le monde. Ce qui est certain en revanche c’est que les 300 magasins disséminés dans le monde étaient pourvoyeurs de postes et que l’avenir des salariés n’a pas été abordé dans le communiqué du groupe américain.
Par communiqué, le groupe annonce qu’une soixantaine de magasins au moins vont fermer aux Etats-Unis et au Canada. L’idée est de se focaliser sur les ventes en ligne. « Le numéro un mondial du divertissement a souligné dans un communiqué qu’il entend « réduire de manière significative ses points de vente physiques » pour développer le commerce électronique. « Le comportement des consommateurs s’est déplacé vers les achats sur Internet et, parallèlement, la pandémie a modifié ce que les consommateurs attendent d’un distributeur », déclare dans un communiqué Stephanie Young, responsable des produits de consommation, des jeux et de l’édition pour Disney », d’après des propos rapportés par Le Monde.
« Disney souhaite développer l’an prochain sa plate-forme de vente shopDisney ainsi que l’intégration de cette dernière avec les applis mobiles consacrées à ses parcs d’attraction et avec sa présence sur les réseaux sociaux. Ces modifications seront accompagnées par la création de nouveaux produits des différentes marques détenues par Disney (vêtements pour adulte, « streetwear », produits pour la maison et autres produits dérivés), ajoute le communiqué » poursuit le quotidien.
Rien n’est spécifié concernant les boutiques en Europe ou ailleurs dans le monde. Ce qui est certain en revanche c’est que les 300 magasins disséminés dans le monde étaient pourvoyeurs de postes et que l’avenir des salariés n’a pas été abordé dans le communiqué du groupe américain.