Micromania c’était l’arrêt quasi automatique en sortant du collège. Pas tellement pour acheter quoi que ce soit mais pour essayer les jeux en libre accès, avec les manettes tenues dans une gouttière en plastique dur. Une époque qui serait sur le point d’être révolue. Les grandes difficultés de GameStop, grand distributeur de jeux et propriétaire de Micromania, semblent le présager. « L’enseigne, qui doit faire face à des plateformes en ligne telles que Steam, le Store Xbox ou le Playstation Network, tente de se relever d’une sévère chute en Bourse fin janvier après qu’elle a annoncé mettre un terme à sa recherche de repreneur lancée en juin 2018 » rapporte French Web . Par communiqué Gamestop a en effet annoncé qu’il ne cherchait plus d’acquéreur mais visait plutôt à stopper l’hémorragie pour avoir plus d’arguments pour un éventuel repreneur.
« La recherche d’acquéreurs faisaient partie de « l’examen d’un large éventail d’alternatives » lancé pour accroître la valeur actionnariale de la société. Sauf que l’enseigne cumule aujourd’hui une dette de 816 millions de dollars et doit trouver d’autres solutions si elle veut survivre. La vente le 16 janvier dernier de sa filiale Spring Mobile pour près de 735 millions de dollars lui a permis d’alléger sa dette, mais l’opération n’a pas suffi. Le conseil d’administration indique être toujours en train « d’évaluer la meilleure utilisation de ces bénéfices ». En plus de réduire la dette de GameStop, ils pourraient également financer le rachat de titres, ou réinvestir dans les jeux vidéo ou les objets de collection, ou encore une combinaison de toutes ces options » explique le site spécialisé.
Entre la dématérialisation des jeux pour les nouvelles consoles et le commerce en ligne, les magasins ont de moins en moins de raison d’être. Il faut donc renouveler le réseau de boutiques pour miser sur les aspects les plus chaleureux et amicaux des jeux.
« La recherche d’acquéreurs faisaient partie de « l’examen d’un large éventail d’alternatives » lancé pour accroître la valeur actionnariale de la société. Sauf que l’enseigne cumule aujourd’hui une dette de 816 millions de dollars et doit trouver d’autres solutions si elle veut survivre. La vente le 16 janvier dernier de sa filiale Spring Mobile pour près de 735 millions de dollars lui a permis d’alléger sa dette, mais l’opération n’a pas suffi. Le conseil d’administration indique être toujours en train « d’évaluer la meilleure utilisation de ces bénéfices ». En plus de réduire la dette de GameStop, ils pourraient également financer le rachat de titres, ou réinvestir dans les jeux vidéo ou les objets de collection, ou encore une combinaison de toutes ces options » explique le site spécialisé.
Entre la dématérialisation des jeux pour les nouvelles consoles et le commerce en ligne, les magasins ont de moins en moins de raison d’être. Il faut donc renouveler le réseau de boutiques pour miser sur les aspects les plus chaleureux et amicaux des jeux.