Si l’on résume grossièrement l’affaire qui touche le PSG avec notamment l’achat de Neymar et Mbappé pour un total cumulé de 400 millions d’euros. Le club parisien a-t-il dérogé au fair-play financier ? Les débats vont s’articuler autour de l’équilibre financier de ses opérations. Ont-elles été rentables et donc justifiées ? Ont-elles été un mauvais choix business et donc un manque de fair-play ? Ces questions sont entrain de rendre fou les experts de l’UEFA.
Pourtant, quelle que soit l’issue de ces discussions, il faut revenir à l’essentiel. Dans le domaine des transferts et des mercatos, le fair-play n’a plus sa place depuis un moment. Voir aujourd’hui la Ligue espagnole et un club comme le FC Barcelone se plaindre d’une forme de triche de la part du club tenu par les Qataris, est risible. Le championnat français n’a-t-il pas dégringolé en quelques années à cause de la pression financière et des records de transferts battus d’année en année par les grands clubs européens, et notamment espagnols ?
Signe de l’hypocrisie générale, les dossiers instruits par l’UEFA pour Fair-play sont nombreux et montrent bien que les pratiques sont loin des vœux pieux des plaignants. « Incapables de se mettre d’accord sur le cas du club de la capitale, les experts de l’Instance de contrôle financier des clubs (ICFC) de l’UEFA n’ont toujours pas rendu leurs décisions, bloquant toute la communication de l’instance européenne sur le Fair-play financier. L’Olympique de Marseille, également visé, de même que l’AS Rome, le FC Porto, Besiktas, l’Inter Milan, Fenerbahçe, le Zénith Saint-Petersbourg ou le Lokomotiv Moscou, en sont ainsi quittes pour devoir également attendre quand bien même leur cas est réglé » rapporte Football.fr .
Punition financière négociée, recours devant la justice ou classement du dossier, rien n’arrêtera la surenchère. Patientons un peu. L’effet mondial et les caprices de starlettes du football vont rapidement ringardiser les 220 millions déboursés pour Neymar Jr. Ainsi va le football.
Pourtant, quelle que soit l’issue de ces discussions, il faut revenir à l’essentiel. Dans le domaine des transferts et des mercatos, le fair-play n’a plus sa place depuis un moment. Voir aujourd’hui la Ligue espagnole et un club comme le FC Barcelone se plaindre d’une forme de triche de la part du club tenu par les Qataris, est risible. Le championnat français n’a-t-il pas dégringolé en quelques années à cause de la pression financière et des records de transferts battus d’année en année par les grands clubs européens, et notamment espagnols ?
Signe de l’hypocrisie générale, les dossiers instruits par l’UEFA pour Fair-play sont nombreux et montrent bien que les pratiques sont loin des vœux pieux des plaignants. « Incapables de se mettre d’accord sur le cas du club de la capitale, les experts de l’Instance de contrôle financier des clubs (ICFC) de l’UEFA n’ont toujours pas rendu leurs décisions, bloquant toute la communication de l’instance européenne sur le Fair-play financier. L’Olympique de Marseille, également visé, de même que l’AS Rome, le FC Porto, Besiktas, l’Inter Milan, Fenerbahçe, le Zénith Saint-Petersbourg ou le Lokomotiv Moscou, en sont ainsi quittes pour devoir également attendre quand bien même leur cas est réglé » rapporte Football.fr .
Punition financière négociée, recours devant la justice ou classement du dossier, rien n’arrêtera la surenchère. Patientons un peu. L’effet mondial et les caprices de starlettes du football vont rapidement ringardiser les 220 millions déboursés pour Neymar Jr. Ainsi va le football.