L'enquête UNAF /INC révèle que l'ensemble des banques de réseau participent à un mécanisme bien rodé de facturation de frais bancaires qui génère 6,5 milliards d'euros chiffre d'affaires. En moyenne, les ménages en difficulté ont 40 frais bancaires par an pour un montant de 296 euros. L'analyse des comptes de plusieurs familles démontre des pratiques illégales : non-respect des plafonds légaux en montants unitaires et en nombre d'opération par mois...
A force d'accumulation, ces frais punitifs font basculer les ménages dans des difficultés de plus en plus importantes avec des conséquences majeures sur leur équilibre financier, leur vie familiale, leurs rapport aux autres. Cette violence sociale induit des violences psychiques et physiques dont les employés bancaires sont également victimes. Dans un environnement concurrentiel très fort, les banques ont tout intérêt à prendre la mesure du risque pour leur image et à changer de modèle économique.
A force d'accumulation, ces frais punitifs font basculer les ménages dans des difficultés de plus en plus importantes avec des conséquences majeures sur leur équilibre financier, leur vie familiale, leurs rapport aux autres. Cette violence sociale induit des violences psychiques et physiques dont les employés bancaires sont également victimes. Dans un environnement concurrentiel très fort, les banques ont tout intérêt à prendre la mesure du risque pour leur image et à changer de modèle économique.