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Les résultats confirment ce que disaient les opposants à la privatisation de la FDJ en 2019. Ceux qui arguaient qu’il ne fallait pas vendre une société qui rapportait de l’argent à l’État actionnaire voient dans les profits très solides de l’entreprise une confirmation. « La Française des jeux (FDJ) a engrangé 19 milliards d'euros de mises l'an dernier, un montant en hausse de 11% comparé à 2019, année de sa privatisation et d'avant-crise sanitaire, et annonce relever ses objectifs à horizon 2025 grâce à la croissance des activités en ligne. Le chiffre d'affaires ressort légèrement meilleur qu'anticipé à 2,25 milliards d'euros contre 2,21 milliards attendus par Bloomberg comme Factset, et l'opérateur de jeux table désormais sur une croissance annuelle moyenne de celui-ci de «4 à 5%» sur 2021-2025, contre «3 à 4%» anticipé jusqu'ici, précise un communiqué publié mercredi. «L'année 2021 marque le retour de FDJ sur sa trajectoire de croissance d'avant-crise pour l'ensemble de ses activités», commente la PDG Stéphane Pallez, précisant que les résultats sont «nettement supérieurs à ceux enregistrés en 2019, grâce à l'accélération du digital et à la croissance dans le réseau de points de vente» » compile Le Figaro .
Les prochaines années s’annoncent très prometteuses avec des taux de marges d’Ebitda à 25% contre 20% quand le groupe a été privatisé. Des performances très solides qui s’expliquent par la réalisation des prévisions des mises en numérique avec une hausse de 42% entre 2020 et 2021. « «Avec plus de deux ans d'avance par rapport aux attentes pré-crise sanitaire, les mises de la loterie en ligne s'élèvent à près de 1,6 milliard d'euros et représentent près de 11% du total des mises loterie» soit un quasi «doublement par rapport au niveau de 2019» qui était de 6%, commente le groupe. Pour l'année en cours, FDJ table sur un chiffre d'affaires en progression de «près de 5%» et un taux de marge d'Ebitda supérieur à 23,5% » conclue le quotidien. Sans préciser les montants de dividendes que l’Etat aurait touché s’il avait gardé le contrôle de l’entreprise.
Les prochaines années s’annoncent très prometteuses avec des taux de marges d’Ebitda à 25% contre 20% quand le groupe a été privatisé. Des performances très solides qui s’expliquent par la réalisation des prévisions des mises en numérique avec une hausse de 42% entre 2020 et 2021. « «Avec plus de deux ans d'avance par rapport aux attentes pré-crise sanitaire, les mises de la loterie en ligne s'élèvent à près de 1,6 milliard d'euros et représentent près de 11% du total des mises loterie» soit un quasi «doublement par rapport au niveau de 2019» qui était de 6%, commente le groupe. Pour l'année en cours, FDJ table sur un chiffre d'affaires en progression de «près de 5%» et un taux de marge d'Ebitda supérieur à 23,5% » conclue le quotidien. Sans préciser les montants de dividendes que l’Etat aurait touché s’il avait gardé le contrôle de l’entreprise.