Une demeure exceptionnelle au prix bradé
L’hôtel particulier sera mis aux enchères jeudi 23 janvier 2020 et devrait attirer de nombreux investisseurs… car le bien est exceptionnel dans la capitale. Trois étages, donnant sur la rue Oudinot dans le 7ème arrondissement, un terrain d’une surface totale de 2.000 mètres carrés et une demeure affichant 1.597 mètres carrés habitables. Un véritable château au centre de Paris, en somme.
Le prix annoncé, en tout cas à l’ouverture des enchères, est clairement bradé alors que dans le quartier le mètre carré avoisine les 30.000 euros : 6 millions d’euros. Mais il y a une raison à cela : la propriété est à l’abandon depuis 30 ans donc elle est à rénover de fonds en comble ; sans compter que les Bâtiments de France risquent fortement d’y mettre leur grain de sel : pas question de le raser et de construire une tour.
Le prix annoncé, en tout cas à l’ouverture des enchères, est clairement bradé alors que dans le quartier le mètre carré avoisine les 30.000 euros : 6 millions d’euros. Mais il y a une raison à cela : la propriété est à l’abandon depuis 30 ans donc elle est à rénover de fonds en comble ; sans compter que les Bâtiments de France risquent fortement d’y mettre leur grain de sel : pas question de le raser et de construire une tour.
Une dette de plus de 30 millions d’euros
C’est la banque JP Morgan qui met ce bien aux enchères, clairement pas intéressée à transformer l’hôtel en opération immobilière. Elle l’a tout simplement saisi à une société néerlandaise, « Beleggingsmaatschappij Belensas B.V », qui lui doit la coquette somme de 35,5 millions d’euros… sans intérêts.
Selon Me Bruno Picard, chargé de vendre ce bien, si les enchères montent elles n’atteindront pas cette somme, du moins il ne s’y attend pas. Mais qui sait : l’immobilier à Paris affichant des prix qui battent record sur record, JP Morgan n’est pas à l’abri d’une bonne surprise. Au futur propriétaire, une fois les travaux qui s’annoncent gargantuesques effectués, de vendre ce bien. Sans doute par lots...
Selon Me Bruno Picard, chargé de vendre ce bien, si les enchères montent elles n’atteindront pas cette somme, du moins il ne s’y attend pas. Mais qui sait : l’immobilier à Paris affichant des prix qui battent record sur record, JP Morgan n’est pas à l’abri d’une bonne surprise. Au futur propriétaire, une fois les travaux qui s’annoncent gargantuesques effectués, de vendre ce bien. Sans doute par lots...