La Chine aussi a des arguments d’autorité. « Le gouvernement chinois n’a pas l’intention de laisser les États-Unis lui dicter sa ligne de conduite. Ce dernier a en effet convoqué différents grands groupes pour les prévenir que les conséquences seraient « permanentes » si elles respectaient l’interdiction de travailler avec Huawei, imposée par les USA en mai dernier. Pour rappel, Facebook a par exemple suspendu la préinstallation de ses applications sur les nouveaux smartphones de Huawei » nous apprend Le Journal du Geek.
En s’appuyant sur les informations du New York Times, le site spécialisé nous apprend que le pays utilise sa position de force avec plusieurs grands groupes pour répondre aux pressions américaines. Samsung, Microsoft et Dell auraient ainsi été concernés par cette convocation chinoise. « Alors que les deux pays ont décidé d’élever respectivement leurs taxes d’importation, la Chine n’a pas envie de voir filer ces grandes entreprises ailleurs. Le journal explique que les autorités chinoises ont expliqué aux entreprises conviées que les décisions de l’administration Trump, qui visent à interdire le partage des technologies, « avaient perturbé la chaîne mondiale d’approvisionnement ». En interne, le gouvernement aurait donc prévenu leur dirigeant qu’il ne fallait pas qu’ils délocalisent dans des pays limitrophes, ou qu’ils écoutent les ordres de boycott de la Maison-Blanche. Mais ce n’est pas tout, ces firmes seraient même encouragées à faire du lobbying directement aux États-Unis » continue le site spécialisé.
Les multinationales des plus grands secteurs ont beaucoup à perdre de se mettre la Chine à dos. « En ce qui concerne les sociétés qui ne sont pas basées aux États-Unis, l’Empire du milieu assuré qu’elles n’avaient rien à craindre à condition qu’elles conservent leur relation économique avec les entreprises chinoises. Vous l’aurez compris, la Chine a décidé de serrer la vis, quitte à se montrer plus agressive » conclue d’ailleurs Le Journal du Geek.
En s’appuyant sur les informations du New York Times, le site spécialisé nous apprend que le pays utilise sa position de force avec plusieurs grands groupes pour répondre aux pressions américaines. Samsung, Microsoft et Dell auraient ainsi été concernés par cette convocation chinoise. « Alors que les deux pays ont décidé d’élever respectivement leurs taxes d’importation, la Chine n’a pas envie de voir filer ces grandes entreprises ailleurs. Le journal explique que les autorités chinoises ont expliqué aux entreprises conviées que les décisions de l’administration Trump, qui visent à interdire le partage des technologies, « avaient perturbé la chaîne mondiale d’approvisionnement ». En interne, le gouvernement aurait donc prévenu leur dirigeant qu’il ne fallait pas qu’ils délocalisent dans des pays limitrophes, ou qu’ils écoutent les ordres de boycott de la Maison-Blanche. Mais ce n’est pas tout, ces firmes seraient même encouragées à faire du lobbying directement aux États-Unis » continue le site spécialisé.
Les multinationales des plus grands secteurs ont beaucoup à perdre de se mettre la Chine à dos. « En ce qui concerne les sociétés qui ne sont pas basées aux États-Unis, l’Empire du milieu assuré qu’elles n’avaient rien à craindre à condition qu’elles conservent leur relation économique avec les entreprises chinoises. Vous l’aurez compris, la Chine a décidé de serrer la vis, quitte à se montrer plus agressive » conclue d’ailleurs Le Journal du Geek.