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Le réchauffement annoncé pendant des années, nous sommes en plein dedans. « La dernière mise à jour annuelle à décennale du climat mondial est glaçante. Non seulement le rapport estime à 98 % de probabilité qu'au moins l'une des cinq prochaines années soit la plus chaude jamais enregistrée, mais il indique également qu'il y a 66 % de risques que la température annuelle à la surface du globe dépasse temporairement de 1,5 °C les niveaux préindustriels », rapporte Geo.
Le magazine s’appuie sur les projections et analyses de l’Organisation météorologique mondiale (OMM) pour souligner ces données. « Les plus optimistes d'entre nous se posent peut-être la question : quid des 2 % de chances de ne pas avoir à connaître l'année la plus chaude d'ici-là ? "Pour que l'une des cinq prochaines années ne soit pas un record, il faudrait soit qu'il n'y ait pas d'événement El Niño au cours des cinq prochaines années, soit qu'il y ait une éruption volcanique massive dans les tropiques, à l'instar du Krakatoa en 1883. Deux scénarios extrêmement improbables", a réagi la Dr Kimberley Reid, climatologue à l'université de Monash en Australie, interrogée par le Centre australien des médias scientifiques (Aus SMC) », ajoute Geo.
Les records de températures à venir auront des conséquences que les scientifiques ont déjà anticipées. Les effets sur la banquise, des écosystèmes ou des lieux protégés comme la Grande Barrière de Corail seront très concrets. Sans parler de la multiplication des incendies causées par des périodes de sécheresses.
Enfin, les conséquences sur la santé aussi sont attendues : « La chercheuse évoque en particulier l'exposition à la chaleur des travailleurs, en particulier dans les secteurs de l'agriculture et de la construction. Autres victimes potentielles : les enfants, les femmes, les personnes âgées et celles souffrant de problèmes de santé préexistants, ainsi que les habitants des zones urbaines — ces dernières risquant davantage de connaître des vagues de chaleur mortelles en raison des effets d'îlots de chaleur. »
Le magazine s’appuie sur les projections et analyses de l’Organisation météorologique mondiale (OMM) pour souligner ces données. « Les plus optimistes d'entre nous se posent peut-être la question : quid des 2 % de chances de ne pas avoir à connaître l'année la plus chaude d'ici-là ? "Pour que l'une des cinq prochaines années ne soit pas un record, il faudrait soit qu'il n'y ait pas d'événement El Niño au cours des cinq prochaines années, soit qu'il y ait une éruption volcanique massive dans les tropiques, à l'instar du Krakatoa en 1883. Deux scénarios extrêmement improbables", a réagi la Dr Kimberley Reid, climatologue à l'université de Monash en Australie, interrogée par le Centre australien des médias scientifiques (Aus SMC) », ajoute Geo.
Les records de températures à venir auront des conséquences que les scientifiques ont déjà anticipées. Les effets sur la banquise, des écosystèmes ou des lieux protégés comme la Grande Barrière de Corail seront très concrets. Sans parler de la multiplication des incendies causées par des périodes de sécheresses.
Enfin, les conséquences sur la santé aussi sont attendues : « La chercheuse évoque en particulier l'exposition à la chaleur des travailleurs, en particulier dans les secteurs de l'agriculture et de la construction. Autres victimes potentielles : les enfants, les femmes, les personnes âgées et celles souffrant de problèmes de santé préexistants, ainsi que les habitants des zones urbaines — ces dernières risquant davantage de connaître des vagues de chaleur mortelles en raison des effets d'îlots de chaleur. »