Une augmentation de tous les produits de consommation courante
Pixabay/stevepb
Selon une enquête de Franceinfo diffusée dans le 20 heures de France 2 le 27 janvier 2022, l’inflation continue de frapper au portefeuille les ménages français. Outre les augmentation les plus visibles, comme l’énergie, ce sont les courses qui coûtent de plus en plus cher : Franceinfo souligne une hausse du panier moyen de 1,76 euro en janvier 2022, après une hausse de 1,08 euro en décembre 2021.
La hausse est généralisée mais se concentre sur les produits qui subissent le plus les tensions sur les marchés de gros en termes de prix des matières premières. Ainsi, souligne Franceinfo, les pâtes premier prix ont augmenté de 41,08% sur un mois. Une inflation bien supérieure à ce qu’attendent les spécialistes : la Banque de France table toujours sur un inflation en France de 2,5% sur l’ensemble de 2022.
La hausse est généralisée mais se concentre sur les produits qui subissent le plus les tensions sur les marchés de gros en termes de prix des matières premières. Ainsi, souligne Franceinfo, les pâtes premier prix ont augmenté de 41,08% sur un mois. Une inflation bien supérieure à ce qu’attendent les spécialistes : la Banque de France table toujours sur un inflation en France de 2,5% sur l’ensemble de 2022.
Des augmentations à venir encore longtemps
La farine augmente également, toujours à cause des tensions sur le marché de gros de blé : 6,29%. Le sucre affiche un prix en hausse de 6,82% tout comme les œufs qui ont grimpé de 5,1% sur un mois, à l’instar du beurre. En somme, tous les produits qui sont des matières premières voient leurs prix être relevés par les distributeurs.
Mais cet impact se fera ressentir encore longtemps : les produits transformés subissent eux aussi les aléas des matières premières, tandis que les marques premium tentent de rogner le plus possible sur leurs marges afin d’éviter des augmentations trop importantes, mais elles ne pourront probablement pas y échapper.
Mais cet impact se fera ressentir encore longtemps : les produits transformés subissent eux aussi les aléas des matières premières, tandis que les marques premium tentent de rogner le plus possible sur leurs marges afin d’éviter des augmentations trop importantes, mais elles ne pourront probablement pas y échapper.