Le tourisme international en berne en France
Après le confinement généralisé de la population française, et ailleurs en fonction des décisions de chaque pays, ce sont des restrictions qui se sont appliquées dans l’Hexagone. Ouverture tardive des bars et restaurants et même fermeture complète des discothèques durant tout l’été, gestes barrière dans les transports, diminution de l’offre de vols…
Sans compter les restrictions et la quarantaine imposées par le gouvernement aux voyageurs en provenance de certains pays considérés à risque. La saison printemps-été 2020 est donc catastrophique pour le tourisme en France, et Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’État au Tourisme, l’a confirmé dimanche 9 août 2020 dans un entretien accordé au Journal du Dimanche.
Sans compter les restrictions et la quarantaine imposées par le gouvernement aux voyageurs en provenance de certains pays considérés à risque. La saison printemps-été 2020 est donc catastrophique pour le tourisme en France, et Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’État au Tourisme, l’a confirmé dimanche 9 août 2020 dans un entretien accordé au Journal du Dimanche.
Un quart du chiffre d’affaires perdu
« En temps normal, le tourisme génère 180 milliards d’euros de recettes, dont 60 milliards grâce au tourisme international. L’impact immédiat de l’épidémie est d’au moins 30 à 40 milliards d’euros », a estimé le secrétaire d’État dans les colonnes du JDD. Et c’est en particulier le tourisme international, en chute libre cet été 2020, qui frappe le plus durement le secteur.
Selon le secrétaire d’État, l’année 2020 sera catastrophique : les remontées qu’il a eues du terrain parlent de 20 à 25% de chiffre d’affaires en moins pour les professionnels du tourisme. Mais il reste malgré tout optimiste sur un point.
S’il est vrai, comme il le souligne, que 17 millions d’étrangers font du tourisme en France chaque année, il rappelle que 9 millions de Français partent, dans le même temps, à l’étranger. Pas de quoi compenser, mais de quoi réduire l’impact de la crise.
Selon le secrétaire d’État, l’année 2020 sera catastrophique : les remontées qu’il a eues du terrain parlent de 20 à 25% de chiffre d’affaires en moins pour les professionnels du tourisme. Mais il reste malgré tout optimiste sur un point.
S’il est vrai, comme il le souligne, que 17 millions d’étrangers font du tourisme en France chaque année, il rappelle que 9 millions de Français partent, dans le même temps, à l’étranger. Pas de quoi compenser, mais de quoi réduire l’impact de la crise.