Dans un communiqué, la FNSEA explique que la gestion du deuxième pilier de la Politique agricole commune entre l'Etat, les Régions et l'Union européenne est devenue une véritable boîte noire sur laquelle les agriculteurs exigent dorénavant la plus grande transparence. Ils ne veulent plus faire les frais de cette opacité.
Selon la FNSEA, pour sortir de cette impasse, plutôt que d'honorer la continuité de l'engagement de l'Etat en trouvant les ressources nécessaires sur le budget national, Stéphane Travert annonce un prélèvement de 4,2 % sur les soutiens directs perçus par les agriculteurs.
Ce prélèvement est, pour la fédération, "inacceptable quand de nombreux secteurs traversent une crise grave avec des prix de marché qui ne couvrent plus les coûts de production, quand la moitié des agriculteurs ont eu en 2016 un revenu inférieur à 350 euros par mois."
La FNSEA ajoute que c'est un très mauvais signal à l'heure du lancement des Etats Généraux de l'Alimentation comme des autres chantiers ouverts. Le Gouvernement a une impérieuse obligation de résultats concrets sur les prix payés aux producteurs, la simplification, la fiscalité, le retour à la compétitivité.
Selon la FNSEA, pour sortir de cette impasse, plutôt que d'honorer la continuité de l'engagement de l'Etat en trouvant les ressources nécessaires sur le budget national, Stéphane Travert annonce un prélèvement de 4,2 % sur les soutiens directs perçus par les agriculteurs.
Ce prélèvement est, pour la fédération, "inacceptable quand de nombreux secteurs traversent une crise grave avec des prix de marché qui ne couvrent plus les coûts de production, quand la moitié des agriculteurs ont eu en 2016 un revenu inférieur à 350 euros par mois."
La FNSEA ajoute que c'est un très mauvais signal à l'heure du lancement des Etats Généraux de l'Alimentation comme des autres chantiers ouverts. Le Gouvernement a une impérieuse obligation de résultats concrets sur les prix payés aux producteurs, la simplification, la fiscalité, le retour à la compétitivité.