Faire face à une nouvelle crise sanitaire
C’est une conséquence directe de la période de confinement qui a touché la France, une chance pour les salariés associée à un meilleur service rendu aux sociétaires : le sixième assureur automobile et premier assureur du secteur associatif vient d’annoncer la signature d’un accord rendant possible l’accès au télétravail pour 100% des salariés, hors métiers spécifiques. Parlant d’un engagement "de longue date en faveur d’un management par la confiance reposant sur la responsabilisation de ses collaborateurs", l’assureur "a souhaité proposer à chaque collaborateur d’opter ou non pour le télétravail", est-il expliqué dans un communiqué. Précision utile : " l’objectif recherché n’est pas la baisse des coûts immobiliers mais bien l’épanouissement des salariés."
"Nous avons fait le choix d’écouter nos collaborateurs et je suis intimement convaincu que la mise en place de ce dispositif sera in fine une source de performance à long terme pour le Groupe MAIF", estime Pascal Demurger, son directeur général. "Je me réjouis que cet accord ait été signé par l’ensemble des représentants syndicaux, deux mois seulement après la fin du confinement, en prenant en compte les souhaits de nos salariés", a quant à elle expliqué Evelyne Liauro-Barres, directrice des Richesses Humaines. Nous tirons les leçons de cette crise sanitaire et sommes désormais mieux armés pour répondre aux besoins de nos sociétaires, notamment le samedi matin, et faire face à une éventuelle nouvelle crise sanitaire ou climatique."
"Nous avons fait le choix d’écouter nos collaborateurs et je suis intimement convaincu que la mise en place de ce dispositif sera in fine une source de performance à long terme pour le Groupe MAIF", estime Pascal Demurger, son directeur général. "Je me réjouis que cet accord ait été signé par l’ensemble des représentants syndicaux, deux mois seulement après la fin du confinement, en prenant en compte les souhaits de nos salariés", a quant à elle expliqué Evelyne Liauro-Barres, directrice des Richesses Humaines. Nous tirons les leçons de cette crise sanitaire et sommes désormais mieux armés pour répondre aux besoins de nos sociétaires, notamment le samedi matin, et faire face à une éventuelle nouvelle crise sanitaire ou climatique."
L'entreprise, lieu de sociabilisation
En effet, à compter de septembre 2020, au sein du groupe, le forfait du nombre de jours télétravaillés est mensuel, les jours de télétravail pré-identifiés dans la semaine étant abandonnés. Quant aux salariés des Centres de contact sociétaires (CCS), il peuvent télétravailler plus de quatre jours par mois à condition de s’engager sur un nombre de samedis matin télétravaillés par an. La MAIF est ainsi parée en cas d’arrivée d’une seconde vague de la Covid-19 dans l’Hexagone. À noter que le lieu de télétravail peut aussi être différent du domicile du salarié.
Cet accord négocié avec les organisations syndicales sera en vigueur jusqu’à décembre 2022. Estimant tout de même que l’entreprise demeure "un lieu de sociabilisation et de construction du collectif", l’accord prévoit que les salariés en télétravail devront être présents sur site entre 2 et 3 jours par semaine. Conséquence immédiate de la signature cet accord entre direction et représentants syndicaux : le quota de télétravailleurs, jusque-là fixé à 20%, est supprimé, de même que la nécessité d’avoir une ancienneté de deux ans dans le poste pour pouvoir télétravailler.
Cet accord négocié avec les organisations syndicales sera en vigueur jusqu’à décembre 2022. Estimant tout de même que l’entreprise demeure "un lieu de sociabilisation et de construction du collectif", l’accord prévoit que les salariés en télétravail devront être présents sur site entre 2 et 3 jours par semaine. Conséquence immédiate de la signature cet accord entre direction et représentants syndicaux : le quota de télétravailleurs, jusque-là fixé à 20%, est supprimé, de même que la nécessité d’avoir une ancienneté de deux ans dans le poste pour pouvoir télétravailler.