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Vendredi 1er juillet, la République Tchèque va s’installer au pote de président tournant de l’Union européenne. « Cette présidence, que les Tchèques héritent de la France et transmettront à la Suède, « n'est pas prévue pour le beau temps, elle est prévue pour le mauvais temps », met en garde Pavel Havlicek, de l'Association pour les affaires internationales, basée à Prague. Vendredi, le gouvernement tchèque recevra les commissaires européens dans un château pour des entretiens suivis d'un concert, dans ce pays de 10,5 millions d'habitants qui a rejoint l'UE en 2004. Prague a promis de mettre au centre de sa présidence l'aide à l'Ukraine, de la crise des réfugiés à la reconstruction du pays en guerre, mais aussi la sécurité énergétique européenne. La République tchèque, fervent partisan des sanctions contre la Russie au sein de l'Union européenne, a accueilli près de 400.000 réfugiés ukrainiens depuis le début du conflit début 2022 et apporté une aide financière et militaire » avance Le Figaro.
Parmi les promesses du Premier ministre tchèque Petr Fiala, un sommet UE-Ukraine. « Les pays des Balkans occidentaux - dont la candidature à l'UE, promue par Prague et d'autres pays d'Europe de l'Est est au point mort - participeraient aussi à cet événement. Mais ce sommet, qui proposerait une sorte de plan Marshall à l'Ukraine, ne se tiendrait que si la guerre est terminée », poursuit Le Figaro.
La présidence d’un pays du groupe de Visegrad au moment de la guerre en Ukraine est fot symboliquement. Mais aussi important alors que les institutions européennes ont une relation complexe avec plusieurs pays de la zone : « La Hongrie et la Pologne ont perdu la faveur de Bruxelles en raison de leurs positions sur l'État de droit. La vice-présidente du Conseil européen, Vera Jourova, qui est tchèque, a récemment exhorté le gouvernement à adopter une position claire sur la Hongrie et la Pologne lors de la présidence » analyse le quotidien français.
Parmi les promesses du Premier ministre tchèque Petr Fiala, un sommet UE-Ukraine. « Les pays des Balkans occidentaux - dont la candidature à l'UE, promue par Prague et d'autres pays d'Europe de l'Est est au point mort - participeraient aussi à cet événement. Mais ce sommet, qui proposerait une sorte de plan Marshall à l'Ukraine, ne se tiendrait que si la guerre est terminée », poursuit Le Figaro.
La présidence d’un pays du groupe de Visegrad au moment de la guerre en Ukraine est fot symboliquement. Mais aussi important alors que les institutions européennes ont une relation complexe avec plusieurs pays de la zone : « La Hongrie et la Pologne ont perdu la faveur de Bruxelles en raison de leurs positions sur l'État de droit. La vice-présidente du Conseil européen, Vera Jourova, qui est tchèque, a récemment exhorté le gouvernement à adopter une position claire sur la Hongrie et la Pologne lors de la présidence » analyse le quotidien français.