La déisnformation : première inquiétude mondiale en 2024
La désinformation, souvent alimentée par l'intelligence artificielle (IA), représente un défi majeur pour les sociétés contemporaines. Elle ne nécessite plus une intelligence supérieure pour être mise en œuvre, rendant sa propagation plus facile et plus dangereuse. Les experts craignent que la désinformation n'exacerbe la polarisation des sociétés, déjà fragilisées politiquement et socialement.
La désinformation ne se limite pas à de simples fausses nouvelles ; elle a le potentiel de saper la confiance dans les médias et les institutions. John Scott, de Zurich Insurance Group, exprime une inquiétude profonde : la crainte que la désinformation ne conduise à une époque où plus personne n'aura confiance dans ce qu'il lit. Or, c’est d’autant plus un problème en 2024 que près de la moitié de la population mondiale est appelée aux urnes pour des élections nationales, notamment avec l’élection présidentielle aux Etats-Unis, les élections européennes ou encore en Inde.
La désinformation ne se limite pas à de simples fausses nouvelles ; elle a le potentiel de saper la confiance dans les médias et les institutions. John Scott, de Zurich Insurance Group, exprime une inquiétude profonde : la crainte que la désinformation ne conduise à une époque où plus personne n'aura confiance dans ce qu'il lit. Or, c’est d’autant plus un problème en 2024 que près de la moitié de la population mondiale est appelée aux urnes pour des élections nationales, notamment avec l’élection présidentielle aux Etats-Unis, les élections européennes ou encore en Inde.
La désinformation inquiète même dans le futur
« Les avancées en matière d'intelligence artificielle vont radicalement bouleverser les perspectives de risque pour les organisations, beaucoup d'entre elles ayant du mal à réagir aux menaces résultant de la manipulation de l'information, de la désinformation et des calculs stratégiquement manipulés », estime Caolina Klimet, directrice commerciale pour l’Europe chez Marsh McLennan, courtier en assurance ayant participé au rapport.
Le rapport du WEF révèle que les cinq principaux risques mondiaux à court terme sont la désinformation, les événements météorologiques extrêmes, la polarisation des sociétés, les cyberattaques et les conflits armés. À plus long terme, les risques environnementaux dominent, mais la désinformation reste un sujet de préoccupation majeur.
Le rapport du WEF révèle que les cinq principaux risques mondiaux à court terme sont la désinformation, les événements météorologiques extrêmes, la polarisation des sociétés, les cyberattaques et les conflits armés. À plus long terme, les risques environnementaux dominent, mais la désinformation reste un sujet de préoccupation majeur.