A prime abord on ne voit pas bien le rapport entre le ministère de la Justice et les Jeux Olympiques. Mais à lire le communiqué publié par le ministère, l’événement est tel que toutes les administrations doivent contribuer. « Quatre milliards d'euros de budget, 208 pays participants, 15 000 athlètes suivis par 600 000 spectateurs et 4 milliards de téléspectateurs, 22 villes françaises concernées : pendant le temps olympique, qui démarrera dès le 8 mai 2024 avec le relais de la flamme, les projecteurs seront braqués sur la France. « Le ministère de la Justice est pleinement mobilisé pour contribuer à faire de cette manifestation planétaire un succès complet pour notre pays », a indiqué Éric Dupond-Moretti, garde des sceaux, ministre de la Justice, en introduction de ce séminaire » explique le texte.
Pour ce qui est en particulier de la justice, quelques enjeux sont effectivement parmi les prérogatives de la Justice. « Pendant les Jeux olympiques et paralympiques (JOP) de Paris, le ministère de la Justice sera mobilisé pour assurer d'une part la continuité de l'activité judiciaire, et répondre d'autre part à l'accroissement d'activité qu'entraînera l'afflux de visiteurs dans notre pays, en Île-de-France notamment. Les enjeux sécuritaires - délinquance, troubles à l'ordre public, actes terroristes, menaces cyber... - et les suites judiciaires qu'ils impliqueront nécessitent une parfaite articulation entre les forces de sécurité intérieure et la justice. Parmi les risques spécifiques liés à cet évènement sportif, la lutte contre le dopage, les manipulations sportives ou encore la revente illicite de billets. La lutte contre les violences sexistes et sexuelles et la lutte contre les discriminations, si elles ne sont pas directement liées à la nature de l'évènement, feront l'objet d'une vigilance toute particulière », continue le communiqué.
Enfin, le ministère affirme « anticiper les scénarios de crise » : « Ce travail de préparation est en cours et passe notamment par des exercices de crise. Au-delà de l'anticipation, la coordination de l'ensemble des acteurs concernés ainsi qu'une organisation souple seront indispensables pour pouvoir faire face à toutes les situations. »
Pour ce qui est en particulier de la justice, quelques enjeux sont effectivement parmi les prérogatives de la Justice. « Pendant les Jeux olympiques et paralympiques (JOP) de Paris, le ministère de la Justice sera mobilisé pour assurer d'une part la continuité de l'activité judiciaire, et répondre d'autre part à l'accroissement d'activité qu'entraînera l'afflux de visiteurs dans notre pays, en Île-de-France notamment. Les enjeux sécuritaires - délinquance, troubles à l'ordre public, actes terroristes, menaces cyber... - et les suites judiciaires qu'ils impliqueront nécessitent une parfaite articulation entre les forces de sécurité intérieure et la justice. Parmi les risques spécifiques liés à cet évènement sportif, la lutte contre le dopage, les manipulations sportives ou encore la revente illicite de billets. La lutte contre les violences sexistes et sexuelles et la lutte contre les discriminations, si elles ne sont pas directement liées à la nature de l'évènement, feront l'objet d'une vigilance toute particulière », continue le communiqué.
Enfin, le ministère affirme « anticiper les scénarios de crise » : « Ce travail de préparation est en cours et passe notamment par des exercices de crise. Au-delà de l'anticipation, la coordination de l'ensemble des acteurs concernés ainsi qu'une organisation souple seront indispensables pour pouvoir faire face à toutes les situations. »