Le nouveau président de la Coré du sud, Moon Jae-In hérite d’une situation diplomatique très tendue. Les positions de plus en plus belliqueuses de son voisin du Nord sont en effet montées en puissance au fur et à mesure que l’administration Trump a répondu à la provocation.
Dans ce contexte, le nouveau président apparaît comme une lueur d’espoir pour approcher de manière plus fine ce dossier. Au sortir de son serment, Moon Jae-In a tout de suite déclaré qu’il était prêt à se rendre en Corée du Nord et à Washington pour faire avancer le dossier. « M. Moon affronte une tâche diplomatique délicate face à une Corée du Nord qui rêve de mettre au point un missile capable de porter le feu nucléaire sur le continent américain, et qui a mis Séoul à portée de ses vastes forces d'artillerie » raconte L’Express. « Sur le plan intérieur, il fait face à de multiples défis, au premier rang desquels les conséquences du retentissant scandale de corruption qui a valu à sa précédesseuse conservatrice Park Geun-Hye d'être destituée. S'il a remporté l'élection présidentielle anticipée dans un fauteuil, le pays est profondément divisé » explique le magazine.
Dans un contexte intérieur tendu avec une croissance économique ralentie, le président coréen sait que plusieurs solutions aux divisions nationales se trouvent à l’internationale. Il aura la lourde tâche de concilier des positions antagonistes de la Chine et le Etats-Unis notamment. Pékin qui a très mal pris l’installation du bouclier antimissile américain en Corée du Sud. « La Chine, le plus important partenaire commercial de la Corée du Sud, a adopté une série de mesures contre les entreprises sud-coréennes vues à Séoul comme des représailles économiques et les relations entre les deux pays se sont tendues » rappelle l’article de L’Express.
Dans ce contexte, le nouveau président apparaît comme une lueur d’espoir pour approcher de manière plus fine ce dossier. Au sortir de son serment, Moon Jae-In a tout de suite déclaré qu’il était prêt à se rendre en Corée du Nord et à Washington pour faire avancer le dossier. « M. Moon affronte une tâche diplomatique délicate face à une Corée du Nord qui rêve de mettre au point un missile capable de porter le feu nucléaire sur le continent américain, et qui a mis Séoul à portée de ses vastes forces d'artillerie » raconte L’Express. « Sur le plan intérieur, il fait face à de multiples défis, au premier rang desquels les conséquences du retentissant scandale de corruption qui a valu à sa précédesseuse conservatrice Park Geun-Hye d'être destituée. S'il a remporté l'élection présidentielle anticipée dans un fauteuil, le pays est profondément divisé » explique le magazine.
Dans un contexte intérieur tendu avec une croissance économique ralentie, le président coréen sait que plusieurs solutions aux divisions nationales se trouvent à l’internationale. Il aura la lourde tâche de concilier des positions antagonistes de la Chine et le Etats-Unis notamment. Pékin qui a très mal pris l’installation du bouclier antimissile américain en Corée du Sud. « La Chine, le plus important partenaire commercial de la Corée du Sud, a adopté une série de mesures contre les entreprises sud-coréennes vues à Séoul comme des représailles économiques et les relations entre les deux pays se sont tendues » rappelle l’article de L’Express.