Le New York Times, est cette institution de la presse américaine, comme Le Monde en France, ou Die Welt en Allemagne. Mais peut-être encore plus. Le quotidien new yorkais, ce sont « 10 millions d'abonnés sur Facebook et près de 22 millions sur Twitter », rapporte le blog Big Browser du Monde. Mais surtout, ce sont des wagons de commentaires qui arrivent chaque jour sur la version en ligne du quotidien. Plus de 9 000. Chaque mois, quelques 60 000 contributeurs postent 2 millions de commentaires.
Et parmi, on trouve bien-sûr, des commentateurs influents. Le plus souvent anonymes, ils apportent leur pierre à l’édifice, contribuant à « améliorer le journalisme, apporter de nouvelles informations, porter un nouveau regard et analyser de nombreuses problématiques chaque jour », explique le community manager du New York Times, le journaliste Bassey Etim, à l’origine du projet. Il a ainsi décidé de dresser quatorze portraits de ces lecteurs influents, qui font avancer, sinon la machine, le débat sur pléthore de sujets de société.
« Ils sont pasteur presbytérien, ingénieur en électricité, auteur de science fiction… » précise Bassey Etim. Mais aussi, écrivain, ingénieur biomédical à la retraite, informaticien… Des jeunes et des moins jeunes. Mais des voix et des « plumes de l'ombre » peut-on lire sur le blog Big Browser. Ils postent des avis affûtés et pertinents sur « les réseaux sociaux du journal ». À tel point que la rédaction prend en compte le « nombre de recommandations liées à leurs commentaires. » Souvent, ce sont les modérateurs qui font remonter des posts particulièrement fins. Dans tous les cas, au New York Times, la formule « no comment » n’est pas d’actualité.
Et parmi, on trouve bien-sûr, des commentateurs influents. Le plus souvent anonymes, ils apportent leur pierre à l’édifice, contribuant à « améliorer le journalisme, apporter de nouvelles informations, porter un nouveau regard et analyser de nombreuses problématiques chaque jour », explique le community manager du New York Times, le journaliste Bassey Etim, à l’origine du projet. Il a ainsi décidé de dresser quatorze portraits de ces lecteurs influents, qui font avancer, sinon la machine, le débat sur pléthore de sujets de société.
« Ils sont pasteur presbytérien, ingénieur en électricité, auteur de science fiction… » précise Bassey Etim. Mais aussi, écrivain, ingénieur biomédical à la retraite, informaticien… Des jeunes et des moins jeunes. Mais des voix et des « plumes de l'ombre » peut-on lire sur le blog Big Browser. Ils postent des avis affûtés et pertinents sur « les réseaux sociaux du journal ». À tel point que la rédaction prend en compte le « nombre de recommandations liées à leurs commentaires. » Souvent, ce sont les modérateurs qui font remonter des posts particulièrement fins. Dans tous les cas, au New York Times, la formule « no comment » n’est pas d’actualité.