Des éditions limitées et collector
Qui aurait pu imaginer qu’un objet aussi simple et classique puisse soudain susciter l’engouement en 2022 ? C’est pourtant le cas du célèbre stylo bille à quatre couleurs de Bic. Un stylo fabriqué en France, aussi simple que fiable et abordable. Quatre qualités qui font de lui un incontournable des trousses d’école depuis des décennies.
Etonnamment, ses gammes semblent désormais fasciner les collégiens et lycéens. Il faut dire que Bic multiplie les éditions collectors, tels les quatre modèles de l’édition Japon ou celles consacrées aux animaux, aux métiers, aux voyages,… Voire des pièces de luxe telles celles pour les 50 ans du modèle imaginées avec Tournaire (290 €) ou avec l’artiste Orlinski (390 €).
Etonnamment, ses gammes semblent désormais fasciner les collégiens et lycéens. Il faut dire que Bic multiplie les éditions collectors, tels les quatre modèles de l’édition Japon ou celles consacrées aux animaux, aux métiers, aux voyages,… Voire des pièces de luxe telles celles pour les 50 ans du modèle imaginées avec Tournaire (290 €) ou avec l’artiste Orlinski (390 €).
Plus de 240.000 stylos quatre couleurs produits chaque jour
En quelques années, les ventes du célèbre stylo ont augmenté de 50%, et même de 20% en un an. La grande majorité des modèles étant fabriqués en France, l'usine Bic de Montévrain (Seine-et-Marne) tourne à plein régime pour produire plus de 240.000 stylos quatre couleurs par jour, soit plus de 7,2 millions de pièces par mois.
Le stylo inventé dans les années 1970 par le Baron Bich est devenu une véritable star sur le marché français. Conséquence de cette véritable « quatre couleurs mania », le quatre couleurs, en sus de demeurer un classique du travail en cours, comme des fiches de révision des collégiens et lycéens, devient aussi un souci en classe. Les vols se multiplient. À tel point que certains établissements de la région parisienne en sont carrément venus à l’interdire, comme les échanges cartes de jeu, jadis, dans les cours de récréation.
Le stylo inventé dans les années 1970 par le Baron Bich est devenu une véritable star sur le marché français. Conséquence de cette véritable « quatre couleurs mania », le quatre couleurs, en sus de demeurer un classique du travail en cours, comme des fiches de révision des collégiens et lycéens, devient aussi un souci en classe. Les vols se multiplient. À tel point que certains établissements de la région parisienne en sont carrément venus à l’interdire, comme les échanges cartes de jeu, jadis, dans les cours de récréation.