Politique
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Les jets de bouteilles sur les joueurs marseillais ont fait réagir ces derniers qui ont provoqué les supporters de Nice. Une réaction en chaine qui a débouché sur un match interrompu et qui n’a jamais repris malgré le souhait de l’arbitre et de l’équipe niçoise. « L’incident déclencheur s’est produit à la 75e minute quand le joueur marseillais Dimitri Payet a renvoyé vers la tribune des supporteurs de Nice une des nombreuses bouteilles en plastique qu’il recevait à chaque fois qu’il allait tirer un corner. Heurté par un des projectiles, Payet s’est effondré au sol avant de se relever et d’empoigner la bouteille qui l’avait touché pour la lancer vers la tribune. Furieux, des supporteurs sont descendus sur la pelouse pour menacer le joueur de l’Olympique de Marseille (OM), avant que l’arbitre renvoie les joueurs aux vestiaires. Ses coéquipiers Alvaro Gonzalez et Mattéo Guendouzi ont couru vers le « kop » pour haranguer la zone d’où venait la bouteille. Dante, le capitaine niçois, est arrivé à son tour pour tenter de calmer les supporteurs » rapporte Le Monde.
Les scènes de bagarre et de coups ont ensuite trainé causant une heure et vingt minutes d’interruption. Puis les deux clubs n’étaient logiquement pas d’accord. Le perdant, Marseille, plaidant que les projectiles reçus et événements justifiaient de ne pas revenir jouer contrairement au souhait de l’arbitre : « Effectivement, l’arbitre Benoît Bastien a mis le ballon au poteau de corner, sifflé pour signifier la reprise du jeu, et constaté l’absence des Marseillais. « La Ligue avait décidé pour une question d’ordre public de faire reprendre le match. Ce n’est pas acceptable pour nous, nous avons décidé de rentrer à Marseille », a justifié M. Longoria. « On a eu des jets de bouteilles d’eau, ça, on ne peut pas le contester », a reconnu, de son côté, le président de Nice. « Malheureusement ce qui a mis le feu aux poudres, c’est la réaction de deux joueurs marseillais de rejeter ces bouteilles, ou d’autres bouteilles, à travers la tribune de nos supporteurs et puis, après, ça s’est un peu enchaîné », a poursuivi M. Rivère, reprochant au service de sécurité de Marseille d’avoir frappé deux joueurs niçois. » Après des mois sans public dans les stades, déplorons que certains supporter n’aient pas pris l’habitude de rester chez eux.
Les scènes de bagarre et de coups ont ensuite trainé causant une heure et vingt minutes d’interruption. Puis les deux clubs n’étaient logiquement pas d’accord. Le perdant, Marseille, plaidant que les projectiles reçus et événements justifiaient de ne pas revenir jouer contrairement au souhait de l’arbitre : « Effectivement, l’arbitre Benoît Bastien a mis le ballon au poteau de corner, sifflé pour signifier la reprise du jeu, et constaté l’absence des Marseillais. « La Ligue avait décidé pour une question d’ordre public de faire reprendre le match. Ce n’est pas acceptable pour nous, nous avons décidé de rentrer à Marseille », a justifié M. Longoria. « On a eu des jets de bouteilles d’eau, ça, on ne peut pas le contester », a reconnu, de son côté, le président de Nice. « Malheureusement ce qui a mis le feu aux poudres, c’est la réaction de deux joueurs marseillais de rejeter ces bouteilles, ou d’autres bouteilles, à travers la tribune de nos supporteurs et puis, après, ça s’est un peu enchaîné », a poursuivi M. Rivère, reprochant au service de sécurité de Marseille d’avoir frappé deux joueurs niçois. » Après des mois sans public dans les stades, déplorons que certains supporter n’aient pas pris l’habitude de rester chez eux.