De plus en plus d’entreprises annulent leur participation au MWC 2020
Le japonais LG aura été le premier à annoncer qu’il ne participera finalement pas au Mobile World Congress de Barcelone cette année 2020 bien qu’il en soit généralement un des principaux soutiens et qu’il y réserve l’un des plus grands stands. Un déclic, peut-être, pour les autres entreprises qui se posaient sans aucun doute déjà des questions.
Le 12 février 2020, et alors que le salon ouvre ses portes le 24 février pour 4 jours, on compte désormais plusieurs désistements. Nvidia et son concurrent Intel côté composants, Ericsson et Cisco côté réseaux, Amazon, l’opérateur japonais NTT DoCoMo ou encore les constructeurs Sony et Vivo ont tous annulé. Et la liste risque de s’allonger avant l’ouverture officielle, l’épidémie de coronavirus continuant de faire de plus en plus de victimes et de contaminés.
Le 12 février 2020, et alors que le salon ouvre ses portes le 24 février pour 4 jours, on compte désormais plusieurs désistements. Nvidia et son concurrent Intel côté composants, Ericsson et Cisco côté réseaux, Amazon, l’opérateur japonais NTT DoCoMo ou encore les constructeurs Sony et Vivo ont tous annulé. Et la liste risque de s’allonger avant l’ouverture officielle, l’épidémie de coronavirus continuant de faire de plus en plus de victimes et de contaminés.
Le gouvernement espagnol soutient le salon
Véritable point d’orgue du secteur, le salon est également stratégique pour la ville de Barcelone ce qui explique que le gouvernement espagnol a déjà déclaré son soutien aux organisateurs du MWC. Mais, selon les informations du journal El Mundo, ce sont 9.000 badges qui sont annulés et 10% de la surface qui devra être amputée ou réorganisée.
Mais bien que le ministre des Finances espagnol, Maria Jesus Montero, pointe du doigt que « la situation de risque dans notre pays est qualifiée de basse », les craintes des constructeurs sont fondées : le salon accueille, chaque année, 120.000 personnes. La moindre faille dans la sécurité pourrait se révéler catastrophique.
Mais bien que le ministre des Finances espagnol, Maria Jesus Montero, pointe du doigt que « la situation de risque dans notre pays est qualifiée de basse », les craintes des constructeurs sont fondées : le salon accueille, chaque année, 120.000 personnes. La moindre faille dans la sécurité pourrait se révéler catastrophique.