Des lieux de travail hybrides
Désormais, les employés de Microsoft pourront travailler de chez eux de façon permanente, et ce pour une durée indéterminée. C’est que vient d’annoncer l’entreprise dans des consignes internes, divulguées par The Verge outre-Atlantique. Elle rejoint en cela d’autres géants de la high tech tels que Square ou Twitter.
Microsoft vient ainsi de diffuser en interne un guide relatif aux « lieux de travail hybrides » permettant une plus grande flexibilité en termes de télétravail. Les salariés pourront non seulement librement travailler 50% de la semaine de chez eux, mais aussi le faire de façon permanente avec l'accord de leur manager.
Microsoft vient ainsi de diffuser en interne un guide relatif aux « lieux de travail hybrides » permettant une plus grande flexibilité en termes de télétravail. Les salariés pourront non seulement librement travailler 50% de la semaine de chez eux, mais aussi le faire de façon permanente avec l'accord de leur manager.
Le plus de flexibilité possible
Dans une note aux employés, Kathleen Hogan, CPO (chief people officer) de Microsoft estime que "la pandémie de COVID-19 nous a tous obligés à penser, vivre et travailler différemment. Nous allons offrir le plus de flexibilité possible pour accompagner les façons de de travailler de chacun, en fonction de nos besoins professionnels, et en veillant à préserver notre culture."
Outre-Atlantique, Microsoft avait déjà annoncé que ses bureaux ne réouvriraient pas avant janvier 2021 au plus tôt. Un autre géant de la high tech, Facebook, avait déjà proposé à des dizaines de milliers d’employés de travailler de chez eux. Mark Zuckerberg, son dirigeant et fondateur, avait même estimé que, à un horizon de cinq à dix ans, la moitié de ses employés pourraient travailler à distance.
Outre-Atlantique, Microsoft avait déjà annoncé que ses bureaux ne réouvriraient pas avant janvier 2021 au plus tôt. Un autre géant de la high tech, Facebook, avait déjà proposé à des dizaines de milliers d’employés de travailler de chez eux. Mark Zuckerberg, son dirigeant et fondateur, avait même estimé que, à un horizon de cinq à dix ans, la moitié de ses employés pourraient travailler à distance.