Des écarts régionaux plus marqués pendant la période des fêtes
En moyenne, les Français prévoient de dépenser 508 euros pour les fêtes, un montant légèrement en baisse par rapport à l’an dernier (-21 euros). Toutefois, cette moyenne masque des écarts notables : en Île-de-France, le budget dépasse 600 euros, tandis qu’en Bretagne, il chute à environ 420 euros, bien en dessous de la moyenne nationale.
Ces variations s’expliquent par deux principaux facteurs : les disparités salariales et les différences dans l’accès aux offres commerciales. Les ménages des zones urbaines profitent davantage des promotions et de la proximité des grandes enseignes, tandis que les habitants des zones rurales ou périphériques, confrontés à des contraintes économiques plus fortes, réduisent leurs dépenses pour préserver leur pouvoir d’achat.
Ces variations s’expliquent par deux principaux facteurs : les disparités salariales et les différences dans l’accès aux offres commerciales. Les ménages des zones urbaines profitent davantage des promotions et de la proximité des grandes enseignes, tandis que les habitants des zones rurales ou périphériques, confrontés à des contraintes économiques plus fortes, réduisent leurs dépenses pour préserver leur pouvoir d’achat.
Le premier frein reste l'inflation
L’inflation, bien qu’en recul, reste un facteur déterminant dans les comportements d’achat. Selon l’étude d'Ankorsore, 7 Français sur 10 estiment que leur pouvoir d’achat n’a pas augmenté malgré une diminution des prix annoncée par l’Insee. Un ressenti qui touche particulièrement les foyers modestes, qui voient leur marge de manœuvre se réduire face à la fin des aides exceptionnelles, telles que le bonus chèque énergie, la revalorisation de certaines prestations, l'indemnité inflation, etc.
Pour beaucoup, ces contraintes économiques dictent une approche plus modérée des dépenses de Noël. Si certains ajustent leurs priorités en privilégiant les achats essentiels, d’autres tentent de compenser via des stratégies comme le Black Friday, les achats en ligne, ou ceux de seconde main. Mais là encore, comme évoqué précédemment, les disparités régionales jouent un rôle : les zones mieux desservies par le commerce en ligne et les grandes enseignes bénéficient davantage de ces opportunités, creusant l’écart avec les territoires où l’accès aux offres est limité.
Pour beaucoup, ces contraintes économiques dictent une approche plus modérée des dépenses de Noël. Si certains ajustent leurs priorités en privilégiant les achats essentiels, d’autres tentent de compenser via des stratégies comme le Black Friday, les achats en ligne, ou ceux de seconde main. Mais là encore, comme évoqué précédemment, les disparités régionales jouent un rôle : les zones mieux desservies par le commerce en ligne et les grandes enseignes bénéficient davantage de ces opportunités, creusant l’écart avec les territoires où l’accès aux offres est limité.