De véritables accros de l’immo
Certains agents immobiliers en viennent à comparer cela à une addiction aux contenus pornographiques… Le real estate porn, sorte d’addiction aux annonces immobilières, tend à se répandre, au plus grand désespoir des agents immobiliers. En effet, cette obsession pour les annonces immobilières les amènent à perdre leur temps avec de quasi mythomanes.
Ces véritables accros de l’immo s’intéressent en effet à des biens d’exception, bien au-delà de leurs capacités d’achat réelles, ou de leurs besoins en termes de surfaces et d'aménagement. Une façon de se rêver une vie comme de se sentir exister, en quelque sorte. Il faut dire que le phénomène est entretenu par la multiplication des émissions mettant en scène des agents immobiliers, à la télévision comme sur Netflix.
Ces véritables accros de l’immo s’intéressent en effet à des biens d’exception, bien au-delà de leurs capacités d’achat réelles, ou de leurs besoins en termes de surfaces et d'aménagement. Une façon de se rêver une vie comme de se sentir exister, en quelque sorte. Il faut dire que le phénomène est entretenu par la multiplication des émissions mettant en scène des agents immobiliers, à la télévision comme sur Netflix.
La série-réalité L’Agence de Netflix
Si Stéphane Plaza, en France, aura clairement fait office de pionnier en la matière, depuis, on ne compte plus les programmes dédiés au rêve d’achat immobilier. La palme en la matière revient sans doute à la série-réalité L’Agence de Netflix, suivant les ventes et négociations d’exception des Kretz, famille d’agents immobilier.
Ces accros au « real estate porn » peuvent passer des heures à faire défiler des annonces immobilières, à consulter des alertes sur leur smartphone, du matin au soir. Quitte à fixer des rendez-vous aux agences pour des biens qu’ils ne vont clairement jamais acquérir. Mais n’est-ce pas, au fond, une forme de luxe, que de se laisser griser par une annonce attirante sur un site ou en vitrine d’agence ?
Ces accros au « real estate porn » peuvent passer des heures à faire défiler des annonces immobilières, à consulter des alertes sur leur smartphone, du matin au soir. Quitte à fixer des rendez-vous aux agences pour des biens qu’ils ne vont clairement jamais acquérir. Mais n’est-ce pas, au fond, une forme de luxe, que de se laisser griser par une annonce attirante sur un site ou en vitrine d’agence ?