7 février 2023 : une mobilisation le jour de l’arrivée du texte à l’Assemblée nationale
Dès mardi 31 janvier 2023 dans la soirée, après une réunion, l’intersyndicale a annoncé que la mobilisation n’allait pas s’arrêter. Les syndicats, unis pour la première fois depuis plus de 10 ans, demande toujours le retrait du texte, ce que le gouvernement refuse. Ce dernier maintient la réforme et, surtout, le principe de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans.
Mais les syndicats sont galvanisés : le record historique du 31 janvier 2023 leur permet d’espérer. Et pour ne pas montrer de signes de faiblesse, une nouvelle journée de grève interprofessionnelle est prévue le 7 février 2023. En pleines vacances scolaires, elle sera plutôt symbolique : ce jour-là le texte arrivera sur les bancs de l’Assemblée nationale.
Mais les syndicats sont galvanisés : le record historique du 31 janvier 2023 leur permet d’espérer. Et pour ne pas montrer de signes de faiblesse, une nouvelle journée de grève interprofessionnelle est prévue le 7 février 2023. En pleines vacances scolaires, elle sera plutôt symbolique : ce jour-là le texte arrivera sur les bancs de l’Assemblée nationale.
Un samedi de manifestation pour attirer plus de monde
Reste que la grève coûte aux salariés, ce qui risque de limiter le mouvement sur le long terme. L’intersyndicale a donc opté pour une deuxième journée de mobilisation, le samedi 11 février 2023. Avec un double objectif.
En premier lieu, il s’agira du premier jour des vacances scolaires de la zone B, qui comprend la région parisienne. Un message clair envoyé au gouvernement : Clément Beaune, ministre des Transports, avait appelé à la responsabilité des grévistes et à ne pas empêcher les Français de partir en vacances. Un appel qui n’aura pas été écouté.
Deuxièmement, opter pour un samedi permettra également à plus de personnes de défiler dans les rues. Ne s’agissant pas forcément d’un jour ouvré, la mobilisation pourrait être encore plus massive car elle ne sera pas pénalisante. Une demande de la CGT, qui espère retrouver dans la rue les familles complètes, mais aussi les jeunes comme les lycéens.
En premier lieu, il s’agira du premier jour des vacances scolaires de la zone B, qui comprend la région parisienne. Un message clair envoyé au gouvernement : Clément Beaune, ministre des Transports, avait appelé à la responsabilité des grévistes et à ne pas empêcher les Français de partir en vacances. Un appel qui n’aura pas été écouté.
Deuxièmement, opter pour un samedi permettra également à plus de personnes de défiler dans les rues. Ne s’agissant pas forcément d’un jour ouvré, la mobilisation pourrait être encore plus massive car elle ne sera pas pénalisante. Une demande de la CGT, qui espère retrouver dans la rue les familles complètes, mais aussi les jeunes comme les lycéens.