Space X sait lancer des fusées et l’a démontré à plusieurs reprises. La société vient de nouveau de le prouver en envoyant de nouveau une Falcon 9 dans l’espace. Un exercice réussi donc surtout que cette fois en ne prévoyant pas de retour, Space X a évité de faire face à son principal défi : l’atterrissage au retour sur Terre. C’est pourtant essentiel pour la société qui développe le tourisme spatial. On imagine mal en effet que les tickets en aller simple se vendent bien.
« SpaceX est connu pour ses lancements avec des fusées réutilisables - comprenez que le premier étage de la Falcon 9 doit, une fois la charge utile séparée du lanceur, revenir au sol pour un atterrissage en douceur. Bon, parfois, cela rate, comme lors de cet essai en juin 2016 quand l'engin spatial n'est pas parvenu à se stabiliser sur une barge mobile dans l'océan » explique Science et Avenir.com. Le site spécialisé rappelle pourtant que l’opération a déjà été réussie sept fois.
En l’occurrence, le dernier lancement n’avait pas pour objectif de mettre au point l’atterrissage mais de mettre en orbite un satellite, une mission qui demandait trop de carburant pour envisager un retour au sol de la fusée. Le satellite mis en orbite est appelé EchoStar XXIII « ce petit bijou d'électronique de la société américaine EchoStar, quatrième opérateur mondial, était destiné à une mise en orbite à plus de 35.000 km de la Terre, afin de fournir des services de télécommunications au Brésil. Il s'agit du 3e lancement pour la firme californienne depuis une explosion de sa fusée Falcon9 sur le pas de tir de Cap Canaveral en Floride en septembre 2016 » explique le site Sciences et Avenir.
Lire ici en intégralité l’article Science et Avenir
« SpaceX est connu pour ses lancements avec des fusées réutilisables - comprenez que le premier étage de la Falcon 9 doit, une fois la charge utile séparée du lanceur, revenir au sol pour un atterrissage en douceur. Bon, parfois, cela rate, comme lors de cet essai en juin 2016 quand l'engin spatial n'est pas parvenu à se stabiliser sur une barge mobile dans l'océan » explique Science et Avenir.com. Le site spécialisé rappelle pourtant que l’opération a déjà été réussie sept fois.
En l’occurrence, le dernier lancement n’avait pas pour objectif de mettre au point l’atterrissage mais de mettre en orbite un satellite, une mission qui demandait trop de carburant pour envisager un retour au sol de la fusée. Le satellite mis en orbite est appelé EchoStar XXIII « ce petit bijou d'électronique de la société américaine EchoStar, quatrième opérateur mondial, était destiné à une mise en orbite à plus de 35.000 km de la Terre, afin de fournir des services de télécommunications au Brésil. Il s'agit du 3e lancement pour la firme californienne depuis une explosion de sa fusée Falcon9 sur le pas de tir de Cap Canaveral en Floride en septembre 2016 » explique le site Sciences et Avenir.
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