JET2.COM en tête du classement
Le ciel britannique a son champion : JET2.COM. Avec 79,14 euros de revenu auxiliaire par passager, cette étoile de l'aviation enrichit son expérience client avec des offres telles que « VIBE » ou les « Express Transfers ». Les voyageurs, en quête d'un confort accru, plébiscitent ces services qui font de JET2.COM la tête de proue du marché, reconnue par les Travellers’ Choice Awards comme la meilleure compagnie low-cost européenne. Mais aussi surtout la compagnie aérienne qui surfacture le plus.
Qantas Airways, le titan australien, n'est pas en reste avec son programme TripADeal qui a séduit un million de membres. Accumuler des points pour s'offrir des escapades à prix réduits est devenu le nouveau credo des voyageurs. Un périple en Chine pour 535 euros ? C'est la réalité avec Qantas, qui offre luxe et économie à ses passagers, leur faisant toucher les nuages sans se ruiner.
Qantas Airways, le titan australien, n'est pas en reste avec son programme TripADeal qui a séduit un million de membres. Accumuler des points pour s'offrir des escapades à prix réduits est devenu le nouveau credo des voyageurs. Un périple en Chine pour 535 euros ? C'est la réalité avec Qantas, qui offre luxe et économie à ses passagers, leur faisant toucher les nuages sans se ruiner.
Les profits de Spirit se sont envolés de 49 %
Aux États-Unis, Spirit et Frontier surfent sur la vague des revenus annexes. La première a vu ses profits s'envoler de 49%, grâce aux réservations de sièges payantes. La seconde a révolutionné le marché avec son pass « Go Wild All-You-Can-Fly », faisant des services supplémentaires une source de revenus prépondérante. Ces initiatives témoignent d'un changement de paradigme : le passager accepte de payer plus pour une expérience bonifiée.
Ce ballet financier des services additionnels reflète une stratégie gagnante. Frontier, notamment, récolte les fruits de son audace avec plus de la moitié de ses recettes issues des frais auxiliaires. Les cartes co-brandées d'Allegiant, ou les options de voyage de luxe de Qantas, démontrent que les compagnies aériennes ont diversifié leur fuselage de services. Toutefois, cette course à l'innovation doit maintenir un équilibre délicat entre rentabilité et satisfaction des clients, sous peine de tomber en chute libre dans l'opinion publique.
Ce ballet financier des services additionnels reflète une stratégie gagnante. Frontier, notamment, récolte les fruits de son audace avec plus de la moitié de ses recettes issues des frais auxiliaires. Les cartes co-brandées d'Allegiant, ou les options de voyage de luxe de Qantas, démontrent que les compagnies aériennes ont diversifié leur fuselage de services. Toutefois, cette course à l'innovation doit maintenir un équilibre délicat entre rentabilité et satisfaction des clients, sous peine de tomber en chute libre dans l'opinion publique.