La 9ème session de la conférence internationale sur le contrôle du tabac se tiendra en novembre prochain, au Pays-Bas. 100 spécialistes en santé publique et en lutte contre le tabagisme ont profité de cet événement pour publier une lettre ouverte à l’OMS afin de demander un changement de cap en matière de réduction des risques tabagiques et une meilleure prise en compte des alternatives sans combustion dans les politiques de lutte contre le tabagisme. Ils ont tout d’abord fourni des éléments d’analyse avant d’exposer leurs recommandations.
Le constat des experts : les produits sans fumée réduisent les méfaits du tabagisme
Ces 100 spécialistes indépendants proposent à l’OMS d’adopter une approche plus ouverte, basée sur la science en matière de réduction des risques liés au tabac. Pour ce faire, ils s’appuient sur des études scientifiques prouvant que « les dispositifs sans fumée sont beaucoup moins nocifs que les cigarettes et qu’ils peuvent supplanter le tabagisme au niveau individuel et au niveau de la population »
Selon eux, il est évident que cigarettes et autres produits du tabac fumé sont responsables de la grande majorité des décès liés tabagisme dans le monde. En refusant d’intégrer les dispositifs sans combustion, les experts considèrent que l’Organisation mondiale de la santé « tourne le dos à une stratégie de santé publique qui pourrait éviter des millions de décès liés au tabagisme ».
Des recommandations pour lutter contre les risques du tabac :
Les 100 signataires de la lettre encouragent donc l’organisation internationale à adopter une approche plus interrogative et plus affirmée dans sa politique en faveur des alternatives au tabagisme sans tabac. Ces spécialistes proposent tout d’abord à l’OMS de « positionner la réduction des méfaits du tabac comme partie intégrante de la stratégie mondiale visant à atteindre les objectifs de développement durable en matière de santé ».
Ils demandent également à l’analyse politique de l’OMS de procéder à une évaluation correcte des risques et des avantages de ces produits alternatifs à la cigarette conventionnelle. Les experts considèrent que la stratégie de l’OMS à l’égard des cigarettes sans fumée « renforce involontairement le tabagisme ». Elle doit donc prendre en compte ces conséquences dans les décisions politiques futures.
Le constat des experts : les produits sans fumée réduisent les méfaits du tabagisme
Ces 100 spécialistes indépendants proposent à l’OMS d’adopter une approche plus ouverte, basée sur la science en matière de réduction des risques liés au tabac. Pour ce faire, ils s’appuient sur des études scientifiques prouvant que « les dispositifs sans fumée sont beaucoup moins nocifs que les cigarettes et qu’ils peuvent supplanter le tabagisme au niveau individuel et au niveau de la population »
Selon eux, il est évident que cigarettes et autres produits du tabac fumé sont responsables de la grande majorité des décès liés tabagisme dans le monde. En refusant d’intégrer les dispositifs sans combustion, les experts considèrent que l’Organisation mondiale de la santé « tourne le dos à une stratégie de santé publique qui pourrait éviter des millions de décès liés au tabagisme ».
Des recommandations pour lutter contre les risques du tabac :
Les 100 signataires de la lettre encouragent donc l’organisation internationale à adopter une approche plus interrogative et plus affirmée dans sa politique en faveur des alternatives au tabagisme sans tabac. Ces spécialistes proposent tout d’abord à l’OMS de « positionner la réduction des méfaits du tabac comme partie intégrante de la stratégie mondiale visant à atteindre les objectifs de développement durable en matière de santé ».
Ils demandent également à l’analyse politique de l’OMS de procéder à une évaluation correcte des risques et des avantages de ces produits alternatifs à la cigarette conventionnelle. Les experts considèrent que la stratégie de l’OMS à l’égard des cigarettes sans fumée « renforce involontairement le tabagisme ». Elle doit donc prendre en compte ces conséquences dans les décisions politiques futures.