Politique
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Trop de café peut avoir des conséquences graves sur la santé mentale. Si cela est connu depuis longtemps, une nouvelle étude vient confirmer le danger et souligne les symptômes à identifier pour savoir qu’il est grand temps de lever le pied. « Si d’après certaines études, la caféine, consommée modérément, possède une efficacité sur la mémoire et les migraines, une nouvelle recherche intitulée High coffe consumption, brain volume and risk of dementia and stroke publiée dans la revue Nutritional Neuroscience met en avant certains problèmes. L'étude a été menée sur 400 000 personnes. En effet, une surconsommation de café impacte notre cerveau et pourrait entraîner une réduction de sa taille. Autre conséquence : un risque accru de maladies cardiovasculaires. Plus surprenant encore : ingurgiter trop de café sur le long terme accroîtrait les risques de démence. 53 % des personnes interrogées, âgées entre 37 et 73 ans, présentaient en effet un risque élevé de démence » résume Le Midi Libre.
Si l’on parle souvent, s’appuyant sur des études sérieuses, de six tasses par jour pour parler d’une consommation excessive, d’autres études ont montré que des problèmes psychiatriques pouvaient être aggravés à cause du café, quel que soit le niveau ingéré. Tandis que d’autres études ont montré les effets positifs de ce dernier sur la mémoire.
Sans se contenter de comptabiliser le nombre de tasses que l’on boit chaque jour, quelques éléments clés doivent être évalués pour savoir si l’on est déjà dans l’excès. Trop uriner, avoir des maux de têtes, des insomnies, des reflux, anémie ou anxiété peuvent être le signe qu’il faut revoir son rapport à la caféine. Il faut alors se lancer dans une diminution progressive pour éviter les effets secondaires ou l’inconfort d’un arrêt brutal du café. A commencer peut-être par remplacer quelques tasses par du décaféiné, au moins de façon provisoire pour perdre de mauvaises habitudes.
Si l’on parle souvent, s’appuyant sur des études sérieuses, de six tasses par jour pour parler d’une consommation excessive, d’autres études ont montré que des problèmes psychiatriques pouvaient être aggravés à cause du café, quel que soit le niveau ingéré. Tandis que d’autres études ont montré les effets positifs de ce dernier sur la mémoire.
Sans se contenter de comptabiliser le nombre de tasses que l’on boit chaque jour, quelques éléments clés doivent être évalués pour savoir si l’on est déjà dans l’excès. Trop uriner, avoir des maux de têtes, des insomnies, des reflux, anémie ou anxiété peuvent être le signe qu’il faut revoir son rapport à la caféine. Il faut alors se lancer dans une diminution progressive pour éviter les effets secondaires ou l’inconfort d’un arrêt brutal du café. A commencer peut-être par remplacer quelques tasses par du décaféiné, au moins de façon provisoire pour perdre de mauvaises habitudes.