Le secteur de l’industrie en tête
67% des personnes travaillant dans le secteur de l’industrie se disent gênés par le bruit et les nuisances sonores sur leur lieu de travail. Le secteur du commerce arrive en deuxième place avec 58% suivi du BTP à 53%. 62% de la classe ouvrière trouvent qu’il y a trop de bruit sur leur lieu de travail. Le nombre de personnes gênées par les nuisances sonores sur leur lieu de travail semblent néanmoins baisser, ils étaient 53% en septembre 2020 et 59% en septembre 2019, contre 49% en septembre 2021.
Un peu moins d’un cinquième des personnes interrogées et qui ont des jours de télétravail (17%) estiment que les nuisances sonores sont plus présentes sur le lieu de télétravail. 47% en revanche estiment qu’il y a plus de bruits gênants sur leur lieu de travail. 35% des personnes interrogées par l’Ifop ont des jours de télétravail dans la semaine. Parmi eux, 30% déclarent que leur sensibilité aux nuisances sonores a augmenté après les différents confinement depuis leur retour sur site. Pour 45% d’entre eux, en revanche, rien ne semble avoir changé.
Un peu moins d’un cinquième des personnes interrogées et qui ont des jours de télétravail (17%) estiment que les nuisances sonores sont plus présentes sur le lieu de télétravail. 47% en revanche estiment qu’il y a plus de bruits gênants sur leur lieu de travail. 35% des personnes interrogées par l’Ifop ont des jours de télétravail dans la semaine. Parmi eux, 30% déclarent que leur sensibilité aux nuisances sonores a augmenté après les différents confinement depuis leur retour sur site. Pour 45% d’entre eux, en revanche, rien ne semble avoir changé.
Des répercussions sur la santé
Pour 60% des personnes interrogées pour Journée nationale de l’audition, le bruit et les nuisances sonores ont eu comme répercussion des signes de fatigue, de lassitude et d'irritabilité. 55% se disent plus stressés lorsqu’il y a du bruit, tandis qu’un tiers d’entre eux estiment que les nuisances sonores au travail ont des répercussions sur la surdité des employés.
Parmi ceux qui sont gênés par le bruit et les nuisances sonores sur leur lieu de travail (soit 49% de l’échantillon interrogé), près de la moitié (48%) envisagent ou ont déjà demandé un équipement de protection individuelle contre le bruit (casques, bouchons, etc.) sur leur lieu de travail. 46% envisagent où ont déjà consulté un médecin à cause de la gêne occasionnée par les nuisances sonores. Pour 18% des personnes interrogées par l’Ifop, le sentiment que le bruit fait partie de l’environnement de travail et du dynamisme collectif est le principal frein qui s’oppose à la réduction du bruit au travail. Tandis que 17% estiment que le plus grand frein pour cette réduction du bruit sur le lieu de travail est le manque de civilité et de solidarité chez certains collaborateurs.
Parmi ceux qui sont gênés par le bruit et les nuisances sonores sur leur lieu de travail (soit 49% de l’échantillon interrogé), près de la moitié (48%) envisagent ou ont déjà demandé un équipement de protection individuelle contre le bruit (casques, bouchons, etc.) sur leur lieu de travail. 46% envisagent où ont déjà consulté un médecin à cause de la gêne occasionnée par les nuisances sonores. Pour 18% des personnes interrogées par l’Ifop, le sentiment que le bruit fait partie de l’environnement de travail et du dynamisme collectif est le principal frein qui s’oppose à la réduction du bruit au travail. Tandis que 17% estiment que le plus grand frein pour cette réduction du bruit sur le lieu de travail est le manque de civilité et de solidarité chez certains collaborateurs.