Politique
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Remporter une fois dans sa vie u tournoi du Grand Chelem est un exploit. Une prouesse réservée à une toute petite poignée de personnes. Et c’est bien cela qui fait de la victoire de Rafael Nadal une prouesse exceptionnelle. « C'est loin de Roland-Garros, son royaume, que Rafael Nadal a décroché un nouveau titre en Grand Chelem dimanche 30 janvier. L'Espagnol a remporté l'Open d'Australie 2022 au terme d'une finale de plus de cinq heures et disputée en cinq sets face au Russe Daniil Medvedev (2-6, 6-7, 6-4, 6-4, 7-5). A 35 ans, il a sans doute décroché l'un des titres les plus marquants de sa carrière » explique France Info qui publie, comme l’ensemble de la presse, un article laudateur sur cette performance exceptionnelle .
Après un match exceptionnel et un retour tout aussi rare puisqu’il était mené par deux sets, le joueur espagnol a devancé les deux autres monstres du sport Novak Djokovic et Roger Federer. « Même si le tableau a été purgé de la présence de l'épouvantail Novak Djokovic, rien ne disait début janvier que Rafael Nadal hériterait de la couronne. Après sa défaite en demi-finale de Roland-Garros contre le Serbe en juin 2021, le "Taureau de Manacor" n'avait disputé que quatre matchs jusqu'à la fin de l'année. A cause d'une douleur persistante au pied gauche, due au syndrome de Muller-Weiss (une maladie dégénérative qui déforme un des os de son pied), il avait été contraint de s'écarter des courts pour recevoir un traitement à Barcelone en septembre. A peine quatre mois après avoir été aperçu en béquilles, il s'est lancé dans l'arène à Melbourne. Malgré ses 35 ans, sans oublier les quatre heures d'un combat brutal face à Denis Shapovalov cinq jours plus tôt, le physique n'a pas lâché dimanche » souligne la chaine publique d’infos.
A quelques mois de son tournoi préféré de Roland Garros, Nadal a montré qu’il avait encore les ressources pour continuer ses exploits. Démontrant aussi au passage qu’il n’est pas un joueur principalement physique et que sa technique mais surtout son mental l’ont amené à ce niveau.
Après un match exceptionnel et un retour tout aussi rare puisqu’il était mené par deux sets, le joueur espagnol a devancé les deux autres monstres du sport Novak Djokovic et Roger Federer. « Même si le tableau a été purgé de la présence de l'épouvantail Novak Djokovic, rien ne disait début janvier que Rafael Nadal hériterait de la couronne. Après sa défaite en demi-finale de Roland-Garros contre le Serbe en juin 2021, le "Taureau de Manacor" n'avait disputé que quatre matchs jusqu'à la fin de l'année. A cause d'une douleur persistante au pied gauche, due au syndrome de Muller-Weiss (une maladie dégénérative qui déforme un des os de son pied), il avait été contraint de s'écarter des courts pour recevoir un traitement à Barcelone en septembre. A peine quatre mois après avoir été aperçu en béquilles, il s'est lancé dans l'arène à Melbourne. Malgré ses 35 ans, sans oublier les quatre heures d'un combat brutal face à Denis Shapovalov cinq jours plus tôt, le physique n'a pas lâché dimanche » souligne la chaine publique d’infos.
A quelques mois de son tournoi préféré de Roland Garros, Nadal a montré qu’il avait encore les ressources pour continuer ses exploits. Démontrant aussi au passage qu’il n’est pas un joueur principalement physique et que sa technique mais surtout son mental l’ont amené à ce niveau.