Une carrosserie impeccable, des factures bien classées et un prix tout à fait dans la fourchette du marché ne suffisent pas. Lorsque l’on achète une voiture d’occasion, le risque d’acquérir un véhicule dont une partie de l’historique a été dissimulé est réel. Face à ce problème, le site spécialisé Caradisiac donne quelques astuces bien utiles. « On n'est jamais trop méfiant(e) quand on achète un véhicule d'occasion. Celui-ci a-t-il été accidenté ? A-t-il déjà changé 8 fois de propriétaire ? D'autre part, s'est-il plié aux opérations de rappel du constructeur ? Bonne nouvelle, ces informations essentielles sont maintenant accessibles en quelques clics...à condition de savoir où», introduit un communiqué du site.
Le marché de l’occasion est très dynamique. En 2018, 5,7 millions de voitures d’occasion ont été vendues (+1,7%) alors que seulement 2,2 millions de neuves ont été immatriculées (+3%). Et si passer par un professionnel est souvent privilégié, ce n’est pas toujours la garantie de ne pas se faire flouer. Surtout, « si l'on songe aux nombreux cas de fraudes traités par la justice, comme par exemple ces 1000 épaves roulantes remises en circulation il y a quelques années, sujet que Caradisiac avait largement traité. La méfiance doit toujours être de mise tant les possibilités d'arnaques sont nombreuses. »
Parmi les solutions, Caradisiac suggère de se servir de sites internet qui donnent des informations sur les véhicules. On peut ainsi en savoir plus sur le nombre de propriétaires, les importations, les grosses réparations qui ont nécessité des expertises ou les anciens rapports des contrôles techniques. De quoi quadriller plus soigneusement le passé d’une voiture pour s’assurer qu’il n’y a aucun loup caché. Il existe ainsi deux sites de références : Atoviza et Autorigin. « Ces deux sites ont depuis peu un concurrent "officiel", tout récemment mis en ligne par les pouvoirs publics. Dénommé HistoVec, ce site assure les mêmes prestations que ceux existant déjà, tout en présentant l'avantage d'une gratuité totale pour le vendeur comme pour l'acheteur. Dès lors, il est très facile pour le second d'inviter le premier à lui présenter un rapport sur le véhicule qu'il présente. Un refus pourra - devra - être interprété comme un inquiétant manque de transparence. Dans les mois qui viennent, Histovec va s'enrichir de nouvelles fonctionnalités en récoltant notamment les infos issues du contrôle technique, ce qui permettra de retracer avec précision l'historique kilométrique du véhicule » nous apprend le site spécialisé. De quoi sérieusement compliquer la tâche des vendeurs les moins sérieux.
Le marché de l’occasion est très dynamique. En 2018, 5,7 millions de voitures d’occasion ont été vendues (+1,7%) alors que seulement 2,2 millions de neuves ont été immatriculées (+3%). Et si passer par un professionnel est souvent privilégié, ce n’est pas toujours la garantie de ne pas se faire flouer. Surtout, « si l'on songe aux nombreux cas de fraudes traités par la justice, comme par exemple ces 1000 épaves roulantes remises en circulation il y a quelques années, sujet que Caradisiac avait largement traité. La méfiance doit toujours être de mise tant les possibilités d'arnaques sont nombreuses. »
Parmi les solutions, Caradisiac suggère de se servir de sites internet qui donnent des informations sur les véhicules. On peut ainsi en savoir plus sur le nombre de propriétaires, les importations, les grosses réparations qui ont nécessité des expertises ou les anciens rapports des contrôles techniques. De quoi quadriller plus soigneusement le passé d’une voiture pour s’assurer qu’il n’y a aucun loup caché. Il existe ainsi deux sites de références : Atoviza et Autorigin. « Ces deux sites ont depuis peu un concurrent "officiel", tout récemment mis en ligne par les pouvoirs publics. Dénommé HistoVec, ce site assure les mêmes prestations que ceux existant déjà, tout en présentant l'avantage d'une gratuité totale pour le vendeur comme pour l'acheteur. Dès lors, il est très facile pour le second d'inviter le premier à lui présenter un rapport sur le véhicule qu'il présente. Un refus pourra - devra - être interprété comme un inquiétant manque de transparence. Dans les mois qui viennent, Histovec va s'enrichir de nouvelles fonctionnalités en récoltant notamment les infos issues du contrôle technique, ce qui permettra de retracer avec précision l'historique kilométrique du véhicule » nous apprend le site spécialisé. De quoi sérieusement compliquer la tâche des vendeurs les moins sérieux.