C’est plus qu’un classique. C’est un incontournable du vestiaire masculin : le modèle 180 de la prestigieuse maison J.M. Weston. Le mocassin, créé en 1945 par Édouard Blanchard, continue de faire fantasmer les nouvelles générations. Pour elles, le Moc s’allège cet été et prend des couleurs.
Sa particularité, outre chausser ministres et gens bien nés depuis des générations, le modèle180 est à l’origine une chaussure de voyage, étroite et avec une empeigne courte : « c'était l'idée d'Édouard Blanchard d'avoir un soulier de voyage, mais sans tout le nécessaire comme les lacets, les tire-boutons, etc », explique Michel Perry au Point. Pas de chausse-pied non plus.
Cet été, le mocassin emblématique, pour ne pas dire culte, va subir un petit lifting. Ce dernier sera assuré par le directeur artistique actuel de la marque française, le chausseur Michel Perry. Sous sa houlette, le modèle 180 va être réinterprété de façon soft. Soft, mais quand même : le mythique mocassin sera « déstructuré » annonce t-on du côté de la manufacture de chaussures fondée en 1891, et située à Limoges.
Qui dit déconstruit, dit sans renforts. Avec une semelle plus fine, dans la veine des mocassins d’été chers aux Italiens, et que l’on porte nu-pieds. Le Moc version 2015, sera aussi, « plus sensuel, avec un toucher cachemire », explique Michel Perry au Point. On attend la nouvelle version le mois prochain.
Tout cela semble un jeu d’enfant. Pourtant, avoir allégé le mocassin 180 et supprimé des contreforts a nécessité deux ans de travail. Cet été, les aficionados pourront enfiler des mocassins aussi confortables que des chaussons, en « veau grené bleu lagon, alligator jaune épice ou en veau velours écarlate. » La ligne et l’essence du modèle 180 sont respectées. Il revient juste modernisé et renouvelé.
Sa particularité, outre chausser ministres et gens bien nés depuis des générations, le modèle180 est à l’origine une chaussure de voyage, étroite et avec une empeigne courte : « c'était l'idée d'Édouard Blanchard d'avoir un soulier de voyage, mais sans tout le nécessaire comme les lacets, les tire-boutons, etc », explique Michel Perry au Point. Pas de chausse-pied non plus.
Cet été, le mocassin emblématique, pour ne pas dire culte, va subir un petit lifting. Ce dernier sera assuré par le directeur artistique actuel de la marque française, le chausseur Michel Perry. Sous sa houlette, le modèle 180 va être réinterprété de façon soft. Soft, mais quand même : le mythique mocassin sera « déstructuré » annonce t-on du côté de la manufacture de chaussures fondée en 1891, et située à Limoges.
Qui dit déconstruit, dit sans renforts. Avec une semelle plus fine, dans la veine des mocassins d’été chers aux Italiens, et que l’on porte nu-pieds. Le Moc version 2015, sera aussi, « plus sensuel, avec un toucher cachemire », explique Michel Perry au Point. On attend la nouvelle version le mois prochain.
Tout cela semble un jeu d’enfant. Pourtant, avoir allégé le mocassin 180 et supprimé des contreforts a nécessité deux ans de travail. Cet été, les aficionados pourront enfiler des mocassins aussi confortables que des chaussons, en « veau grené bleu lagon, alligator jaune épice ou en veau velours écarlate. » La ligne et l’essence du modèle 180 sont respectées. Il revient juste modernisé et renouvelé.